Installée depuis plus de dix ans au Val dans une maison particulière, la crèche parentale de Saclay doit, pour le confort des enfants et de son personnel, changer de locaux au plus vite.
En effet, la Commission de sécurité réglementaire qui s’est tenue fin avril dans nos murs nous impose, pour rester dans la classification 5 des « établissements recevant du public (ERP)», de ne plus utiliser l’étage de la maison qui abrite la crèche.Or, nous n’avons ni les moyens financiers de réaliser les aménagements obligatoires pour les établissements entrant dans la catégorie 4 des ERP (ascenseur, portes coupe-feu, etc), ni l’intention d’entasser durablement enfants et personnel au rez-de-chaussée de notre maison.
Depuis 2005, nous sommes à la recherche de locaux plus adaptés à notre activité et conformes aux instructions de la protection maternelle et infantile de l’Essonne – environ 100 m2, de plain-pied et avec jardin – mais notre recherche est jusqu’alors restée vaine.
Aujourd’hui, nous ne pouvons plus attendre : si nous restons rue Ronsard, nous risquons de devoir, faute de place suffisante, exclure de la crèche certains enfants et mettre en chômage technique une partie de notre personnel.
Nous faisons donc appel à vous : connaîtriez-vous sur Saclay ou dans ses environs un local à louer, de plain-pied et avec jardin, d’au moins 100 m2 qui soit disponible rapidement et dont le louer n’excède pas 1 000 euros mensuels ?
La crèche n’étant ouverte que du lundi au vendredi, entre 8h et 18h30, son activité n’occasionne aucune agitation le soir ni le week-end : nous pourrions donc partager éventuellement nos locaux avec une association ou un particulier qui n’auraient eux besoin des locaux que le soir ou le week-end.Ce pourrait être aussi l’occasion pour certains de louer une partie de leur longère ou de leur ancien corps de ferme, et de la voir remise en état…
Pour en savoir plus sur les mésaventures de la crèche de Saclay, articles du Parisien :
*La crèche parentale à nouveau menacée (article du 18 mai 2011)
*La crèche parentale sacrifiée pour une rivale privée (article du 12 janvier 2011)