Samedi 11 juin, à la librairie « Mille feuilles » de Bièvres, de 16 à 18 heures, Nicolas Meyer, Saclaysien depuis 22 ans, vous propose une rencontre autour de son roman historique « Quand le Soleil engendrait des rivières », inspiré par les rigoles de Thomas Gobert, l’aqueduc de Buc, les grandes eaux de Versailles et même la machine de Marly !
APPRENDRE À SCULPTER, PEINDRE OU DESSINER AVEC LE CLUB « ART ET PEINTURE À SACLAY »
Sep 28, 2021L’association « Art et Peinture à Saclay » a vocation à dispenser dans ses locaux du 17 rue Charles Thomassin des activités d’arts plastiques destinées aux enfants à partir de 7 ans et aux adultes.
Un choix de cours s’offre aux amateurs :
Pour les enfants, des cours d’1h30 tous les mercredis de 17h30 à 19h (en dehors des vacances scolaires).
Pour les adultes, les professeurs abordent pendant 2h30 ou 3h00 les techniques de peinture à l’huile, l’aquarelle, le pastel sec, le dessin ou la sculpture.
Ces cours sont proposés les lundi 13H00 (Peinture à l’huile) et 16H30(aquarelle), le mardi (à la journée tous les 15 jours)(peinture à l’huile), le mercredi 13H30 (peintures à l’huile), 17H00 (art plastique enfants) et 19H00 (initiation dessin adultes et ados) ; le jeudi 14H00 (pastel sec) et le dimanche (tous les 15 jours) à 9H30 (sculpture)
Il est également proposé des stages de pastel une journée par mois, pendant lesquels l’animateur, artiste pastelliste, dévoile les secrets de ce médium.
Les cours de peinture-dessin ou de sculpture sont animés par des professeurs expérimentés, eux-mêmes artistes dans leur discipline.
Pour contacter l’association et obtenir plus de renseignements :
Georges Henric (secrétaire) : [email protected] ou Nicole Chardy (Présidente) : [email protected]
Un visiteur intéressé | Farouk Ferrah – boxeur – avec son fils | |
Thierry Camus, LIGNES & COULEURS | Exposition des oeuvres de Claudine Doury à la Foire de la Photo de Bièvres |
57e édition de la Foire internationale de la photo de Bièvres légèrement décalée – cause Covid – de juin (habituellement) aux 11 et 12 septembre. Pour le reste, même ambiance. On va d’un espace à un autre (marché de l’occasion, antiquités photographiques, voire épaves pour pièces), d’une conférence (Vendre une photo n’est pas réservé aux pros ?! avec Eric Delamarre, photographe et consultant) à une autre (La photo de voyage : conseils pour réussir vos images avec Vincent Frances, fondateur de l’agence de voyage photo Photographes du Monde).
On ressort manger un morceau, on remontre son tampon (tous vaccinés) sur le bras et de nouveau, on regarde les plaques stéréoscopiques de Sophie Faguay (Photographies anciennes), en se plaçant face au soleil, un vieux procédé qui permet de voir en relief… et on ne s’arrête plus. _Vous avez dit mouvement perpétuel ? Ici à Bièvres (91), à la fois verdoyante et proche (au sud-ouest) de Paris, la photographie tient une place importante depuis que deux amateurs passionnés : Jean puis André Fage, ont lancé le mouvement dans les années 50. Que depuis rien n’arrête !
Christophe Baillat
Le 10 juillet, la Maison Léon Blum accueillera dans son parc 2 concerts dans le cadre du festival ouVERTures.
Juin 25, 2021Cet evenement à été annulé
Information pratiques :
Deux concerts dans le parc de la Maison Léon Blum :
- 16h : Le Baroque Nomade. Embarquement pour Cythère, inspiré par les tableaux de Watteau. Chants, gestes et instruments baroques pour le plaisir des yeux et des oreilles.
- 17h30 : Les Frivolités Parisiennes. Paris-Berlin 1900, une plongée dans la Belle Epoque avec un programme pour soprano, harpe et violon.
La Maison ouvrira ses portes dès 14h30 pour accéder à la billetterie, et permettre de visiter le musée avant d’assister aux concerts.
Tarif : 15€ par personne / 10€ pour les 6-18 ans et les étudiants / gratuit pour le moins de 6 ans.
L’entrée comprend la visite libre de la Maison et les deux concerts. La réservation est conseillée au 01 30 70 68 46 ou par mail à [email protected]
La programmation détaillée est disponible sur notre site vers lequel vous pouvez diriger les internautes : https://www.maisonleonblum.fr/2021/06/11/concerts-du-10-juillet/.
Par une autrice Saclaysienne
Coup de cœur !
Fabrice Chaboissier, artiste Saclaysien touche à tout, à la fois auteur, compositeur et réalisateur, prépare un court métrage intitulé « retour aux sources » dont le tournage va commencer de façon imminente dans les Vosges.
Avec toute la sensibilité qui le caractérise, cet artiste « propose un film poétique, qui oscille entre le film contemplatif, le drame et le road movie ».
L’action se déroule au milieu des splendides paysages vosgiens du Grand Est, dont les scènes sont autant de prétextes pour valoriser le patrimoine naturel mais aussi le savoir-faire.
Un retour aux sources donc pour ce Saclaysien originaire de la région Grand Est, qui pose, en filigrane, à travers le récit de Charlie, les questions éternelles sur la vie, les choix, les directions que chacun d’entre nous prenons à certains moments clés de la vie, les rencontres, les décisions et les impacts de chacune d’elles sur nos vies que nous construisons…
De ses deux passions, la musique et l’image, Fabrice peut se targuer d’un très beau CV !
Côté image, après une expérience de graphiste sur une chaine dédiée aux voyages, il réalise aujourd’hui quotidiennement les émissions d’une chaîne de la TNT, très suivie par certains passionnés de sport ! Il « réalise également des clips vidéos, captations de concerts (Thérapie taxi, Cats on trees…), captations de spectacles (La chimère du temps), clips institutionnels…
Côté notes, son talent l’a conduit à écrire depuis très longtemps de très belles mélodies. Il a ainsi réalisé les musiques de « plus d’une vingtaine de documentaires : Le code da Vinci, 4X8000 retraçant l’aventure himalayenne de Mike Horn, À l’école des primaires… pour France 3, France 4, France 5, TF1, LCP, KTO… de plusieurs courts-métrages, des jingles pour émission télé, pour des programmes courts, signé 2 albums chez musique & music »…
C’est donc entouré de ses fidèles amis et de ses proches, qu’il s’est lancé dans ce nouveau défi.
Et pour se faire, il peut s’appuyer aussi sur de très solides soutiens !
Vincent Garenq, scénariste et réalisateur des longs-métrages dont certains nommés plusieurs fois aux césars, qui lui apporté soutien et précieux conseils, et pour la musique, Mathieu Vilbert qui a signé la musique de plusieurs longs métrages.
Coté financement et promotion, des professionnels aussi : un producteur, une spécialiste de la promotion et des soutiens financiers divers :
–Stéphane CHAMPREUX, producteur, avec notamment la coproduction exécutive et la réalisation de nombreux magazines pour France 3 Grand Est, d’autres canaux de diffusion web.
–Sandrine Frantz, experte dans la vente internationale de programmes et la recherche de financement d’’oeuvres audiovisuelles, jouera un rôle clé dans la stratégie de distribution du film, et complémentera le réseau de recherche de financement déjà mis en place.
Il est d’ores et déjà prévu que le film soit diffusé sur les chaînes du Grand Est.
Le Conseil Départemental des Vosges s’est d’ores et déjà engagé dans le soutien de ce projet ainsi que le CNC, Centre National du Cinéma et de l’image animée, qui à travers ce soutien, exprime sa confiance et témoigne de la qualité du projet.
(« Dans le secteur du cinéma, le CNC apporte des aides à la création, à la production, à la distribution de films, au court métrage, à l’exploitation, aux industries techniques, aux cinématographies en développement, à l’exportation du film français ». Plus d’info : https://www.cnc.fr )
De très nombreux soutiens d’enseignes diverses, qui lui ont également déjà fait confiance…
« Antoinette Production à Epinal, Lukarn productions à Paris, Ahlstrom-Munksjö Arches SAS à Arches, Le cabinet curieux à Fontenoy-le-Château, Mémé à Gerardmer, Les Authentics à La Bresse, Le grand rondin à la Bresse, Nonno à Epinal, La confiserie des hautes-Vosges CDHV à Plainfaing, Le Jacquard Français à Gerardmer, la maison des soeurs macarons à Nancy, Bol d’air à La Bresse, le chalet hôtel Le Collet, La Gerbe d’Or en Moselle, la charcuterie Pierrat au Tholy, La fromagerie Gérard au Tholy, Opel France, La maison Martin-Pouret à Orléans, JFA Conseil »
Côté artiste, une belle palette d’actrices et acteurs aux CV déjà bien remplis !
–Virgilia Giambruno, actrice, scénariste, réalisatrice française, d’origine italienne qui a tenu le 1er rôle dans le film « LE CARILLON DU TEMPS » de Richard Mégane ainsi que dans le dernier film de Enzo Ysah « A LA FOLIE ».
–Laurence Roustandjee, présentatrice, animatrice télé et radio (M6, Teva, RMC Story, France 3, radio FG), qui a fait ses débuts comme actrice dans des téléfilms à forte audience (Joséphine, ange gardien).
–Karine Lima, présentatrice télé et journaliste, scénariste, réalisatrice et productrice et comédienne, qui peut se targuer de nombreux prix qui sont venus récompenser ses multiples talents !
–Florian Hessique, acteur aux multiples facettes, acteur, réalisateur, interprète, qui a à son actif lui aussi déjà de belles récompenses !
–Aurore Sellier comédienne dans des séries TV comme notamment la série « Scènes de ménage », ou récemment, un rôle dans la série « En quête de vérité » pour France 2.
– Tara-Louise, jeune fille de 10 ans, à la vivacité d’esprit et au talent déjà très prometteur ! Elle a ainsi été « choisie pour incarner Jade, le personnage principal du film de Louise Groult « Bien mignonne » prochainement en diffusion sur France2 ». Quel talent !
Un retour aux Sources donc avant un retour à Saclay très attendu où il ne fait aucun doute que les Saclaysiens seraient heureux de venir découvrir cet artiste et avoir la chance de peut-être visionner ce beau projet cinématographique !
Un fauteuil à Saclay ?
Bonne chance en tous les cas à l’artiste et à toute l’équipe !
Une chose est sûre même si les soutiens financiers sont là, d’autres soutiens financiers sont et seront encore nécessaires !
Alors si vous le souhaitez, n’hésitez pas à encourager ce Saclaysien et lui permettre ainsi qu’à toute l’équipe, d’atteindre l’objectif fixé !
Merci par avance,
Plus d’information en suivant ce lien :
https://www.helloasso.com/associations/polychromes%20productions/collectes/retour-aux-sources
Pierre Cardin et le costume de la maire
Avr 30, 2021Pierre Cardin (1922-2020), l’ambassadeur de la haute couture française vient de nous quitter. Voici comment Pierre Cardin s’est intéressé à Vauhallan.
Lors de l’inauguration de l’exposition célébrant le Centenaire de la mairie-école de Vauhallan le 10 no- vembre 1986, la maire* avait revêtu le costume du maire* défini par le décret du 1er mars 1852, tou- jours en vigueur, mais tombé en désuétude.
Ce costume n’était bien sûr, pas adapté à une femme puisqu’au Second Empire cette fonction était uni- quement masculine.
Suite à cette manifestation qui avait défrayé la chronique, Pierre Cardin, visionnaire de la mode, qui déclarait « Les vêtements que je préfère sont ceux que j’invente pour le monde de demain », reçut à Pa- ris le 27 novembre 1986, la maire de Vauhallan pour lui présenter son étude du costume pour une femme maire.
Pierre Cardin devait officialisé son modèle à Vauhallan le 6 mars 1987, mais suite à un imprévu, la cérémonie fut remise à une date ultérieure.
En fait, dans le contexte de l’époque où on ne comptait que 4% de femmes maires, ce modèle de costu- me de la maire, n’a jamais vu le jour, et le texte de 1852 n’a jamais été abrogé !
Quelques maires en France portent le costume officiel à l’occasion de manifestations publiques.
Le costume de maire avait été prêté gracieusement par la Société française de production (SFP) des Buttes- Chaumont à Paris, bâtiment aujourd’hui démoli, sur l’initiative de Anne-Marie Peysson (1935-2015), dans son émission à RTL « Les auditeurs ont la parole »
*Dossiers consultables au SI :
– féminisation des noms de métier, grade ou fonction 16-03-1986
– le costume du maire
Présentation du film Je ne rêve que de vous à Jouy-en-Josas.
Quand elle préparait son rôle, l’actrice a bien senti qu’il lui faudrait inoculer un « grain de folie » au personnage de Jeanne (Reichenbach), capable de suivre Léon (Blum) en captivité. Au moment de la présentation du film, Elsa Zylberstein prend la parole la première : « Je dansais sur ces mêmes planches, il y a vingt-cinq ans. On me disait déjà que j’avais une présence sur scène ». L’actrice est émue.
L’équipe réunie autour de ce biopic a révélé au public la genèse du film : recherche de financement, contraintes fixées par la costumière…
« Il a fallu quatre ans pour l’écriture et la recherche de financement. Laisser décanter pour réduire les références historiques au minimum, au risque d’éloigner le personnage de Léon Blum ». Et vingt-cinq jours pour la réalisation. Résultat : quasiment pas une scène sans Elsa Zylberstein. Elle incarne le courage des femmes de cette époque. Les péripéties ne manquent pas : internements successifs de Léon Blum avec les « politicards » que le régime de Vichy écarte, invasion de la zone libre fin 1942… Quoi qu’il se passe autour d’eux, la détermination de Jeanne force l’admiration. Pierre Laval finit par signer son laissez-passer pour rejoindre Léon Blum. Il ne lui cache pas que « c’est aller en enfer. » Jeanne ne dévie pas de sa trajectoire. Le couple se marie à Buchenwald.
La Maison Léon Blum « déplacée » dans le Nord pour les besoins du film.
Ce film tire le meilleur parti des moyens qui lui ont été alloués. Le réalisateur n’a pas caché qu’ils étaient limités : « le tournage s’est concentré dans la région d’Arras » où une maison a été préférée à celle de Jouy-en-Josas, où vécurent Jeanne (jusqu’en 1982) et Léon Blum (jusqu’en 1950).
Il ne reste plus à Elsa Zylberstein – et à tous ceux que le film rendra curieux – qu’à découvrir leur vraie maison : au 4 rue Léon Blum 78350 Jouy-en-Josas. Plus d’information : https://www.maisonleonblum.fr/
Christophe Baillat
En conférence à Paris le 19 février
La sortie du film : « Je ne rêve que de vous », est très attendue à Jouy-en-Josas, où se trouve la Maison Léon Blum (ce blog lui a consacré plusieurs articles*). A cette occasion, le 28 janvier, celle-ci ouvrira ses portes de 15 h à 19 h. Le point d’orgue de cette journée autour de Léon Blum sera la projection du film** réalisé par Laurent Heynemann. Une histoire d’amour exceptionnelle : celle d’une femme (Jeanne Reichenbach jouée par Elsa Zylberstein) qui quitte tout pour un homme qui a 30 ans de plus (Léon Blum joué par Hippolyte Girardot) et va devenir Jeanne Blum. « Janot » n’a pas attendu que Léon vienne pour lui donner son nom, elle a été le rejoindre au camp de Buchenwald où l’homme politique était détenu. Le film sera suivi d’échanges.
Christophe Baillat
* le 18 mars 2018 : Le printemps avait promis de revenir à la Maison Léon Blum; le 28 janv. 2018 : Maison Léon Blum : les ressources humaines en point de mire
** Séance : mardi 28 janvier 2020 à 20 h à la Salle du Vieux Marché, place de la Marne.
Réservation sur la billetterie en ligne de la ville de Jouy-en-Josas. Prix : 10 € (Gratuit pour les moins de 12 ans), donnant droit à la visite de la MLB
Le marché de l’occasion et des antiquités photographiques, bien installé, constitue pour les amateurs une véritable chasse au trésor
Evènement organisé par le Photoclub Paris Val-de-Bièvre avec la commune de Bièvres, cette nouvelle Foire proposera : expositions, conférences, animations et une centaine de stands d’exposants ainsi que deux concours.
Le programme est très riche, en voici un aperçu
1er juin : 13 h-19 h – 2 juin : 8 h-18 h – (marché des artistes 9 h-18 h). Dimitri Beck présidera le jury de la Foire 2019
1er au 3 juin : Expositions Denis Bourges
Au sein d’une même ville, d’un même lieu, des hommes et des femmes se côtoient sans se rejoindre, des univers cohabitent sans se voir. Sur le Mont Saint-Michel, ENTRE DEUX MONDES souligne cette dualité rythmée de mystères : le monde moderne, celui des touristes et l’autre, traditionnel, celui des moines. L’étonnant paradoxe de ces deux mondes ainsi superposés révèle intensément les travers de notre société, de ses maux et ses aspirations
MEDECIN DE CAMPAGNE, « mes photographies racontent ce qui est habituellement tenu au secret médical : une intimité, une écoute, un lien social. La relation patient/médecin s’expérimente à chaque visite. Elle est à la fois universelle et intrinsèquement subjective. Se joue alors le rapport que nous entretenons à notre corps, à la maladie, à la vie, mais aussi à notre disparition… »
Plus d’informations sur les sites internet : https://www.facebook.com/Foire.Photo.Bievres/
Règlement du concours sur www.foirephoto-bievre.com
Entrée libre – Place de la Mairie de Bièvres (Essonne – France) Accès : 19 km de la Porte d’Orléans, par la N118 – RER C : gare de Bièvres
Le Chœur du Campus a le plaisir de vous annoncer ses prochains concerts.
En ce début d’été 2019 c’est la musique sacrée de Verdi qui sera à l’honneur!
Le Requiem de Giuseppe Verdi est un chef d’oeuvre incontestable du répertoire choro-symphonique du 19ème siècle.
Cette messe grandiose, créée en 1874, est une liturgie pour les morts, dans la pure tradition catholique, mais sa structure, son expressivité et ses contrastes la rapprochent de l’opéra : un opéra en habits d’ecclésiastique!
Verdi témoigne dans cette partition de sa parfaite maîtrise de l’écriture vocale et donne naissance à un véritable bijou de l’art lyrique. L’effectif imposant, quatuor de solistes, double chœur mixte et grand orchestre, y exprime les sentiments les plus intimes et les plus profonds du compositeur alors au sommet de son art.
Brillante, contrastée et éclatante, cette oeuvre magistrale est bien une des plus puissantes qu’il ait composées et l’une des plus marquantes du genre tout entier.
Une présentation de l’œuvre : http://ch.campus.free.fr/VerdiRequiem/UnePresentation.pdf
Les interprètes:
Karina Desbordes soprano, Klara Csordas mezzo-soprano
Bruno Robba ténor, Jean-Louis Serre basse
Le Choeur du Campus Paris-Saclay à Orsay et Choeurs partenaires
Orchestre Symphonique du Campus d’Orsay
direction: Martin Barral
Les dates, heures et lieux:
Samedi 22 juin 2019 à 21 h, Basilique Sainte-Clotilde, Paris 75007. Dimanche 23 juin 2019 à 17 h, gymnase Blondin, rue Guy Moquet, 91400 Orsay
Renseignements et réservations: https://www.scm.espci.fr/Prochains_concerts.html
Nous vous attendons, nombreux, pour partager de beaux moments d’émotions musicales.
Gérard Adamczewski
Président du Choeur du Campus Paris-Saclay à Orsay
EXPOSITION à la Maison des photographes et de l’image à Bièvres
Jan 13, 2019« OASIS » par Francis Tack – Jusqu’au 27 janvier 2019
Depuis qu’il maîtrise le vol en paramoteur (aéronef léger type deltaplane), qui lui permet de voler à basse altitude, Francis Tack s’en donne à cœur joie au-dessus des dunes et des oasis égyptiennes, mauritaniennes, algériennes, chinoises…
Les vues, comme cette famille circulant avec son troupeau camelin dans une tempête de sable ou bien la culture des palmiers-dattiers, se retrouvent aussi au coin librairie dans l’un ou l’autre des ouvrages, dont le plus récent : Oasis, des îles dans le désert.
A vous de voir !
désertique |
aérienne |
randonnée | fascination |
Entrée libre, samedi et dimanche : 16 h – 19 h. Site à consulter : www.francistack.com
Christophe Baillat
Le Chœur du Campus Paris-Saclay a le plaisir de vous annoncer ses prochains concerts.
Au programme: Mendelssohn – Bach, de l’élève au maître
Le programme de notre concert se compose de quatre œuvres qui s’inscrivent dans la tradition des cantates sacrées d’inspiration luthérienne. Luther considérait que, dans la liturgie, la musique et les chants devaient mettre en valeur la parole divine. Il pensait aussi que les textes chantés devaient être compréhensibles par tous et préconisait l’usage de l’allemand plutôt que du latin. Bach et Mendelssohn ont, tous deux, respecté ces principes dans les œuvres que nous avons choisies.
Félix Mendelssohn (1809-1847)
Le plus « classique » des romantiques !
Il s’intéresse aussi aux musiciens plus anciens et surtout à Jean-Sébastien Bach.
A 20 ans, il dirige à Berlin une exécution de la « Passion selon saint Matthieu » et amorce ainsi la redécouverte de Bach par le grand public.
La musique religieuse de Mendelssohn représente de loin la partie la plus importante de son œuvre.
Il se croyait appelé à rétablir en Allemagne la tradition interrompue de Bach se mettant en communion intime avec ses œuvres et ses idées
Cantate MWV A20 « Herr Gott, dich loben wir » / « Seigneur Dieu, nous te louons » (1843)
Chant de louange, de remerciement et d’imploration. Cette œuvre sera interprétée par deux chœurs séparés qui chantent le plus souvent en alternance, comme lors d’un service religieux où officiant et assemblée se répondent.
Cantate MWV A7 « Wer nur den lieben Gott lässt walten » / « Celui qui s’en remet à Dieu seul » (1829)
Cantique dit « de confiance ». Il nous exhorte à avoir toute confiance en Dieu et à placer en lui notre espérance.
Jean-Sébastien Bach (1685-1750)
Universel !
La musique de Bach renferme un message qui peut toucher le cœur humain et répandre la paix intérieure, quelque soit la nationalité ou la tradition culturelle.
A côté de l’orgue et du clavecin, les cantates sacrées constituent incontestablement l’un des domaines où il a le plus marqué son époque et la postérité.
Cantate BWV 4 « Christ lag in Todes Banden » / « Christ gisait dans les liens de la mort » (1707 reprise en 1725)
Les 7 versets du cantique pascal écrit par Martin Luther en 1524.
Un de ses chefs-d’oeuvre vocaux, la plus ancienne cantate à nous être parvenue.
Cantate BWV 140 « Wachet auf, ruft uns die Stimme » / « Réveillez-vous, nous crie la voix » (1731)
La parabole des vierges, sages et folles, attendant l’époux.
Belle partition spirituelle et sensuelle, célèbre par son fameux « Choral du veilleur » .
Ces deux cantates sacrées sont parmi les plus connues de Bach.
Mais … vous saurez tout (ou presque) à la lecture du programme qui vous sera proposé à l’entrée de nos concerts !
Les interprètes :
Le Choeur du Campus Paris-Saclay à Orsay
Rany Boechat soprano, Bertrand Dazin alto, Branislav Rakic ténor, Lucas Bacro basse
Ensemble de Musique Baroque
Direction: Samuel Machado
Les dates, heures et lieux :
– Vendredi 1er février 2019 à 20h45, Campus d’Orsay, Amphithéâtre Henri Cartan, Bât. 427
– Dimanche 3 février 2019 à 16h, Eglise Saint-Louis-en-l’Île, Paris 4ème.
Renseignements et réservations: https://www.scm.espci.fr/Prochains_concerts.html
Nous vous attendons nombreux pour partager de beaux moments d’émotions musicales.
Message repris de Gérard Adamczewski, Président du Choeur du Campus Paris-Saclay à Orsay, que nous remercions pour cette information.
Une activité proposée par le Cercle Littéraire et Artistique Jovacien*
SALON DU LIVRE – EXPOSITION
Dimanche 21 octobre à Jouy-en-Josas 10 h – 18 h
Salle du Vieux Marché, 1er étage
* Contact : [email protected]
CB
Programme du Salon du Livre-Exposition à Jouy-en-Josas
Oct 17, 2018Venez nombreux découvrir le 1er Salon du Livre-Exposition dimanche.
Sa caravane d’auteurs et d’artistes, constituée au fil de rencontres en Seine-et-Marne, dans l’Yonne, le Loiret et mise en route en quelques mois grâce à Facebook, Marie-Jo(sée) Dumas-Suter est en passe de l’installer Place de la Marne, au centre-ville de Jouy-en-Josas, où ses invités vont la suivre.
Un nouvel acteur associatif : le Cercle Littéraire et Artistique Jovacien est une nouvelle association qui fait ainsi son entrée dans le paysage de la commune. Elle propose également des séances de Dictées-Lectures.
Retrouvez dans cette caravane qui s’installe, où tous les genres seront représentés :
Guy Alamarguy, Cicéron Angledroit, Christophe Baillat, Bénédicte Boucher Krispien, Michèle Bouquot, Marie-Jo Chavenon, France Chesca, Claude Colson, Michèle Dassas, Marc Decaudin, Michèle & Philippe Fanelli, N.F. Tomaselli, Henri Girard, Anne Guerber, François-Régis Hoareau, Emilie Le Boullaire, Didier Lemoine, Véronique Lévy, Stéphie Marie, Frédéric Rebeyrolle, Dany Ribes, Bertrand Runtz, Romain Suerte, Pierre Thiry, Laurence Tournay, Noël Vernois, Alain Waltz, Jean-Yves Saez, François Goalëc…
Contact : [email protected] ou 06.03.73.60.13
C.B
Walid Baroud, maire de Jeïta (Liban), 2e en partant de la droite, invité à l’inauguration du label « Ville en poésie ».
L’obtention du label Ville en poésie est une fierté pour la ville.
L’idée lancée par les Passeurs de Rimes (François Goalec et Jean-Yves Saez, bras tendu sur la photo) et la commune il y a un an se concrétise.
Poésie, Liban, invitation au voyage
La dernière fois, ce fut Mathias Enard,
Cette fois dans la cour de la mairie
De Beyrouth à Jeïta,
De la guerre à la fête.
« All life is twain*, the one a frozen stream,
the other a burning flame,
And the burning flame is love. »
Thereupon I entered into the temple and
bowed myself, kneeling in supplication
And chanting a prayer in my secret heart :
« Make me, O Lord, food for the burning
flame,
And make me, O God, fuel for the sacred
fire.
Amen. »
Khalil Gibran. Extrait de Prose poems. Traduction de l’arabe par Andrew Ghareeb. *two
Remerciements au Comité de jumelage (Elisabeth Hemme) et à la famille Hage pour la documentation.
Ch. Baillat
A l’occasion de l’exposition de ses œuvres, notamment ses livres sculptés et mis sous cloche, petit exercice de curiosité.
Dans la salle vitrée attenante à la mairie de Jouy-en-Josas sont accrochées pour « 1 mois, 1 artiste » les photographies de Bertrand Runtz. Au fond, des livres sur une petite table rappellent discrètement que, l’artiste le dit lui-même : au centre, il y a d’abord l’écriture, le noyau dur.
Question : depuis quand Bertrand Runtz se pique-t-il de littérature ?
« Maman, je te présente Albert, un ami écrivain ; Albert, je vous présente Simone, ma mère… »
Réponse dans le court texte « La visite ». Nous sommes en 1985 dans le sud de la France. Jeune adulte, ses maîtres s’appellent Baudelaire et Céline. La mèche de cheveux pseudo-romantique, il se pique déjà de littérature « […] peu importe que personne n’y entende rien à mes gribouillages véhéments. Ça ne m’étonne pas. Peut-être même tant mieux. J’ai la fibre maudite et complaisante, la tournure sciemment tourmentée. L’enfance qu’il faut. […] ». Dans le cimetière où sa mère – partie une année à Pâques sans espoir de retour – repose, se trouve également, en face, la dernière demeure de l’écrivain Albert Paraz. Le devoir familial devient curiosité littéraire. Cet été-là, assis sans façon sur sa tombe, il croit entendre Paraz lui donner ce conseil « Il ne faut jamais mollir, surtout en écriture. Appeler un chat un chat ! Le sentiment vrai, le mot vrai. Il n’y a que ça qui compte. Etre juste. Et tant pis si ça gratte, si ça tache ! Ou alors tu finiras en cucuteries de salons. Tu survivras, mais tu seras foutu ! »
Bertrand Runtz a alors vingt-deux ans.
Une vingtaine d’années plus tard…
- La maison d’édition bordelaise finitude est dans la fleur de l’âge. Elle reçoit différents textes de Bertrand Runtz. Un seul lui plaît, mais qu’en faire ? Finitude a la bonne idée d’en faire une carte de vœux littéraire envoyée à son réseau professionnel. Sur les presses de Plein Chant à Bassac (Charente), elle tire ainsi deux-cent-cinquante exemplaires de Reine d’un jour, un texte de vingt-cinq pages, annonçant fièrement son premier roman pour l’année suivante et lui promettant le Goncourt … en 2022. Bertrand Runtz sent qu’il tient peut-être là l’occasion de travailler avec l’éditeur, il se hâte d’écrire Amère et l’envoie.
- Prix Paroles d’Encre pour Amère, premier roman paru chez finitude, illustré d’une sculpture – un arbre poussant à travers un livre, des morceaux de papier accrochés aux branches – photographiée par l’artiste.
Cinq ans plus tard…
Les adhérents de l’association versaillaise Paroles d’Encre sont invités à une lecture-concert chez Bertrand Runtz, sur la colline des Metz, quartier de Jouy où il vient de s’installer*. Le texte Reine d’un jour leur est offert. Ils découvrent un autre invité également publié chez finitude, Christian Estèbe, devenu pour Bertrand «un vrai pote, un poteau, un frère », comme Albert Paraz l’était pour Céline.
Depuis, Bertrand n’a pas molli.
Christophe Baillat
« 1 mois, 1 artiste » avec Bertrand Runtz. Du lundi 5 mars au lundi 30 avril 2018. Exposition visible aux horaires d’ouverture de la mairie. Salle vitrée du rez-de-chaussée.
* Cahier historique de Jouy-en-Josas n°24 hiver 2017-2018
Printemps des Poètes à Jouy-en-Josas
Organisé par les Passeurs de Rimes & la ville sur le thème de l’Ardeur
La joyeuse bande des Passeurs de Rimes : François Goalëc, Jean-Yves Saez & Jean-Baptiste Grillet, avait annoncé ce concours dans la muse-letter numéro 10…
Remise du 1er Prix à Raphaël Henry, en présence du maire, d’une partie du jury et de nombreux invités
Plus habitué à sculpter le bois que les mots, Gérard Saez s’est vu remettre le 2e Prix par son frère.
Virginie Mouanda lisant un texte d’Idrissa Keïta, auteur de sa maison d’édition.
Lecture de textes
De son Mali natal, il rapporte une brûlure,
La bouche du canon quand il l’a fait taire.
Les poèmes ont beaucoup appris des oiseaux pour parcourir le ciel,
Le souffle du vent apporte le sien à sa Grand-mère.
Jeune et ardente démonstration
Chétif comme un noisetier de seize printemps,
Clément commence par se taire.
Qu’on lui serve à boire
Et il se confiera.
Il est venu de Rouen pour cette déclaration.
Des rayons de miel vont couler sur ses feuilles.
Que la poésie l’accueille !
… les textes des lauréats sont à paraître dans la prochaine muse-letter.
Démonstration est faite que, selon les mots de Fanny Le Corre, la maison Léon Blum devient peu à peu un lieu de vie, de culture et de musique.
Ils donnent raison à ceux qui se sont donnés du mal pour rassembler tous ces documents. Verbatim
Le public – parfois les mêmes – revenu le lendemain, écouter – sur fond de musique de Claude Debussy et Erik Satie – le trio Anne Guerber – « qui fait partie du grand cousinage des Passeurs de Rimes » – , Jean-Yves Saez et Fanny Le Corre, en est convaincu. Il fera « naviguer » ces ondes extrêmement positives, reçues en découvrant l’autre Léon Blum, celui dont les poèmes écrits à quinze ou seize ans dormaient à l’abri du temps dans le coffre-fort de la mairie de Jouy. On est passeurs ou on ne l’est pas. « Ils » se reconnaîtront.
Christophe Baillat
3e Prix pour Télétravail
Le Choeur du Campus vous adresse ses meilleurs voeux à l’occasion de cette nouvelle année.
Nous avons le plaisir de vous annoncer nos prochains concerts.
En ce début 2018 c’est la musique de la période baroque, créative, riche et foisonnante qui sera à l’honneur!
Au programme:
Deux chefs-d’oeuvre de la musique vocale spirituelle
Antonio Vivaldi : Magnificat RV610
De son vivant même, le Magnificat a établi l’immense renommée du prêtre roux. Dans toute l’Europe d’alors il a été recopié et chanté.
De ce chant de louanges de la Vierge composé dans un style noble, majestueux et emprunt de lyrisme, se dégage une atmosphère émouvante avec une vraie tension dramatique intérieure.
Marc-Antoine Charpentier : Te Deum H146
Grâce, majesté, éclat, ce grand motet de cour cérémonieux illustre parfaitement le caractère flamboyant du baroque français. Son prélude est notamment utilisé comme indicatif des émissions en Eurovision dès 1953.
Contrastes, effets théâtraux et diversité sont les caractéristiques les plus frappantes de cette œuvre glorieuse.
Une suite pour orgue
Genre musical cultivé en France pendant les XVII et XVIIIe siècles
Louis-Nicolas Clérambault : Suite du 2ème ton (extrait du premier livre d’orgue)
Contemporain de François Couperin et Rameau, Clérambault a vécu la fin du règne de Louis XIV, la Régence et la première moitié du règne de Louis XV. Il a occupé des postes en vue et a connu les faveurs du public. Excellent compositeur de cantates il s’est d’abord fait connaître « par la savante manière dont il touchait l’orgue ».
Les 7 pièces qui la compose offre un juste et parfait équilibre de caractères et de sonorités.
Les interprètes:
Le Choeur du Campus Paris-Saclay à Orsay
Solistes et Ensemble de Musique Baroque
direction: Samuel Machado
Les dates, heures et lieux:
– Vendredi 2 février 2018 à 20h45, Campus d’Orsay, Amphithéâtre Henri Cartan, Bât. 427
– Dimanche 4 février 2018 à 16h, Eglise Saint-Louis-en-l’Île, Paris 4ème.
Renseignements et réservations: https://www.scm.espci.fr/Prochains_concerts.html
Nous vous attendons nombreux pour partager ces moments d’émotions musicales.
Informations reprises de Gérard Adamczewski
Président du Choeur du Campus Paris-Saclay à Orsay
Ce n’est pas gagné d’avance. Reprenons au début, il est 20h30 à la Médiathèque de Toussus-le-Noble. Nous sommes avec les fidèles qui font confiance à la programmation de Maria du Souich.
_ Ce soir, nous découvrirons des lieux saints de l’écriture. Grâce à quelques complicités, nous pénétrerons dans l’enceinte de son bureau à la nrf et grâce à celles de ses gardiens, nous irons – ce sera un privilège d’y être reçus – à Brinville (photo). Qui sait, peut-être surprendrons-nous le maître de maison en train de lire après le dîner. N’a-t-il pas sur sa table dix ou douze livres ? N’est-il pas obligé de lire une partie de la nuit pour choisir les romans dont il parlera ?
Tout Marcel Arland en trois lettres, ce serait presque possible avec ABC : Amance, Brinville et Corona (sa bonne machine à écrire), à condition d’en ajouter aussitôt trois autres : NRF.
Abécédaire. Pour la lettre A, à part l’Amance, qui a bercé son enfance, je ne vois que cette rivière pour mériter la première place. Saluons-la, nous aussi, l’Amance, de loin mais le cœur y est. Nous voilà en relation avec la Haute-Marne par l’esprit. Pour le B, Banlieue le dispute à Brinville. Qui pour lire le texte onirique qui illustre la lettre B, prendre place dans un train, s’acagnarder sur une banquette, faire soudain apparaître Marie Laurencin entre deux clochards ? Assis ou debout, selon le personnage à qui il prête sa voix, Jean-Yves Saez, fondateur du collectif Passeurs de Rimes, est l’invité–surprise de cette soirée du 29 septembre.
21h, certains n’ont encore rien mangé. Qu’à cela ne tienne, un sandwich, un verre d’eau. Là-dessus, les textes, la lampe électrique (une projection de diapos plonge la salle dans l’obscurité), reprenons. Direction Paris, la nrf et celui que le Figaro littéraire[i] a qualifié de « découvreur », Marcel Arland. 21h30, s’il ne partait pas en vacances, il avait le cafard. Au Rondon[ii], la maison de repos des auteurs. De là à Port-Cros. Découvrons un tout autre Arland, côtoyant Gide ou Paulhan. Son côté gamin dont sa physionomie est imprégnée trouve ici, au-dessus des vagues, un terrain d’application à sa mesure. Pour le L, Langres ou Lecture ? Est-ce que Marcel Arland a choisi ? 22h _ Merci à la ville de Toussus-le-Noble et à Maria du Souich, qui pour les besoins de la bibliothèque lit peut-être autant que Marcel Arland. _ Merci aux signataires de la lettre qui suggère au Montcel (quand il réouvrira) d’honorer la mémoire de Marcel Arland au Montcel où il fut professeur et heureux parmi ses garçons. Tout particulièrement Christian Bouda, proviseur de lycée et fils des gardiens de M. et Mme Arland à Brinville. Sans oublier ceux qui sont au départ de cette initiative : Claude Cailleau (fondateur de la Revue Les Cahiers de la rue Ventura), Michel Crépu (directeur de la NRF), Yvon Houssais (professeur à l’Université de Franche-Comté, Langue et littératures françaises), Rémi Soulié (modérateur des colloques Littérature en Lagast[iii]), Michel Thénard (journaliste en Haute-Marne qui partage avec Marcel Arland une parenté d’Amance[iv]). Ils ont été rejoints depuis par : Jean-Pierre Alix (membre du Groupe de Recherches Historiques de Jouy-en-Josas), Annette Cossonnet (Présidente du Syndicat d’Initiative intercommunal Jouy & Les Loges-en-Josas), … Le public présent à Toussus a été particulièrement réceptif à cette démarche.
Christophe Baillat
[i] 1er décembre 1951. Article de Maurice Chapelan sur les coulisses du Prix Fémina.
[ii] à Olivet, près d’Orléans. Corinne Fourquier, qui accueille pour une ou plusieurs nuits en chambre d’hôte (Achacunsapose) a bien voulu aller photographier Le Rondon.
[iii] dont le dernier, le 15 juillet 2017, fut consacré aux paysages dans l’œuvre de Marcel Arland.
[iv] C.f le site chemindeleau.com