L’OIN : une équipe jeune pour une communication ouverte sur le Grand Paris
Avr 16, 2010Ghislain Mercier sort de l’Ecole Normale Supérieure. A 23 ans, il est Chargé d’Etude à la mission de préfiguration de l’établissement public de l’OIN. Il indique vouloir mettre en place les outils « pour rendre plus concret et plus proche des gens cette opération ». « Nous allons communiquer sur la méthode et nous allons privilégier l’écoute », ajoute Gaëlle Coutant, Directrice de la Communication à la mission. Diplômée de Sciences Po, elle y a exercée pendant trois ans comme responsable de la communication.
Tout deux reconnaissent que leur attitude ouverte et leur âge surprennent parfois les acteurs locaux qu’ils rencontrent. « Il y a trop de fantasmes sur le projet du Grand Paris, explique Gaëlle. Beaucoup de plans erronés circulent… La vérité est que nous ne sommes qu’au stade du projet et que nous voulons rencontrer et écouter les habitants ».
Lors d’un déjeuner au restaurant le Gramophone à Orsay, vendredi 16 avril, les deux représentants de l’OIN se veulent rassurants : « Certains affirment que nous allons bétonner le plateau. Ce n’est pas du tout la réalité. Ce projet mettra en valeur cette région en faisant cohabiter un développement respectueux de l’environnement et en protégeant de grands espaces naturels », disent-ils.
Avec cette équipe, l’ambition de l’OIN est de jouer le jeu de la nouvelle communication :
« Nous concevons le cluster de Saclay comme un projet de proximité. Les médias sociaux nous offrent de formidables outils de dialogue et d’échange avec ceux qui vivent aujourd’hui sur le Plateau », explique Gaëlle.
Avant de quitter le restaurant? Gaëlle me remet une brochure; Pierre Veltz, délégué ministériel en charge du projet pour le Plateau de Saclay y est cité : « Le cluster de Saclay est une chance à exploiter, non seulement pour la métropole parisienne mais pour le pays».
Plus loin nous y lisons que les quatre principes qui guideront l’action de l’établissement public sont :
- Le respect du cœur vert du plateau
- La mixité des fonctions
- Des aménagements compacts
- A la pointe du développement durable
Profitez de Monsaclay.fr pour engager le dialogue avec l’OIN, cliquer sur « commentaire ».
Sans remettre en cause la sincérité de Gaëlle et Ghislain, espérons que les décisionnaires seront eux aussi à l’écoute.
Le site de la mairie d’Orsay et de Saclay nous informe qu’un préavis de grève a été déposé par une organisations syndicales depuis le mardi 6 avril 2010 pour une durée illimitée.
Mardi 13 avril 2010, l’entrée du dépôt était bloquée intégralement par les conducteurs grévistes. La direction, le personnel administratif et les agents de maîtrise n’ont pas pu pénétrer dans l’entreprise.
D’après le Mag91.fr, depuis une semaine, les machinistes de la compagnie bloquent le dépôt de Marcoussis empêchant tous les bus de circuler. Ils réclament des hausses de salaires et l’amélioration de leurs conditions de travail. Cinq grévistes ont par ailleurs été assignés ce mardi matin devant la justice. Ils devraient comparaître devant le tribunal de Grande Instance d’Evry.
Le site de la mairie de Saclay précise qu’un service de substitution sera mis en place vendredi 16 avril. Vous pourrez en télécharger les horaires sur le site de Saclay dès qu’ils seront connus.
De nouveaux flashs d’informations sont affichés aux points d’arrêt précisant la suspension du trafic pour une durée illimitée.
Renseignements TRANSDEV – Cars d’Orsay 01 64 49 54 48
Information 01 64 49 54 4
Plateau de Saclay : un territoire d’exception mérite un projet d’exception
Avr 12, 2010Par Thomas Lamarche et Olivier Réchauchère dans lemonde.fr
(Thomas Lamarche est économiste à l’université de Paris VII
Olivier Réchauchère est militant associatif du territoire de Saclay, ancien membre d’une commission du débat public.)
Le projet d’installer sur le plateau de Saclay une Silicon Valley à la française (selon les mots du secrétaire d’Etat Christian Blanc) est doublement emblématique des travers des pouvoirs publics français en matière d’aménagement. D’une part parce que l’Etat se montre incapable de prendre en compte les spécificités d’un secteur du savoir qui peine à émerger (crise de l’Université, faible niveau des dépenses de recherche…) dans sa conception de ce cluster scientifique. D’autre part parce qu’il semble se refuser à penser avec les acteurs locaux la complémentarité des diverses dimensions de ce territoire ; son volontarisme se heurtant à une opposition citoyenne vigilante et capable de proposer une vision alternative.
UN CLUSTER VU D’EN HAUT
« Cluster » semble le maître mot de l’action de l’Etat dans ce projet. Cette notion s’est imposée dans les années 1990 à partir de l’étude de la dynamique des territoires à forte activité technologique. Elle désigne des projets fortement spatialisés où l’action jointe des acteurs publics (collectivités territoriales notamment), de laboratoires de recherche et d’entreprises favorise un développement endogène reposant sur des ressources locales (ressources naturelles, compétences professionnelles, culture commune…). Cluster (littéralement « grappe ») désigne ainsi l’agglomération d’activités, les exemples classiques étant la Silicon Valley ou l’aéronautique à Toulouse. La coopération d’acteurs variés, publics et privés, entreprises, collectivités et associations est reconnue comme un ingrédient original des agglomérations réussies.
Malheureusement, le pôle scientifique de Saclay ne relève pas de cette conception. A l’inverse d’une démarche coopérative, le mode de fonctionnement qui s’y dessine privilégie la mise en concurrence des laboratoires de recherche, des universités et des écoles : concurrence pour l’accès aux ressources publiques, dans l’accès aux partenariats, dans un nouveau marché du travail des chercheurs. Le pôle lui-même étant en concurrence avec d’autres territoires (ceux du plan Campus). Le secteur du savoir est ainsi pensé à partir d’une vision entrepreneuriale de l’enseignement supérieur et de la recherche et non plus à partir d’une profession qui se régule, chercheurs et enseignants définissant les savoirs légitimes, recrutant et gérant les carrières.
Grand Paris: fin de l’examen du texte au Sénat dans un climat d’affrontement
Avr 12, 2010(AFP)
Le Sénat s’efforçait vendredi d’achever l’examen du projet de loi du Grand Paris dans un climat d’affrontement, la gauche victorieuse aux régionales reprochant au gouvernement d’imposer un texte qui ne respecte pas, selon elle, les compétences des collectivités.
Le projet de loi, déjà adopté à l’Assemblée, prévoit la création d’une double boucle de métro automatique autour de Paris reliant des pôles économiques (Saclay, La Défense, Plaine-Commune, Roissy, Orly…) avec des contrats d’aménagement autour des futures gares et permettant des liaisons banlieue-banlieue.
D’un coût de 21,4 milliards d’euros, ce métro est censé favoriser le développement économique de l’Ile-de-France et, « par effet d’entraînement », de la France entière.
Samedi 10 avril, les enfants de Saclay ont défilés dans les rues du Val d’Albian lors du Carnaval organisé par l’Association Indépendante Locale des Ecoles de Saclay (AILEVS).
Les 9, 10 et 11 avril 2010, nos voisins du Domaine de Saint-Jean de Beauregard à 16 km de Saclay , donnent rendez-vous à tous les amoureux des plantes et des jardins pour la Fête des Plantes Vivaces. Pour ce premier grand rendez-vous horticole de l’année on pourra découvrir toute l’élégance et la richesse des plantes d’ombre, thème phare de cette édition.
200 professionnels seront présents. Les pépiniéristes dévoileront leurs collections de plantes rares ou méconnues ainsi que leurs dernières obtentions.
Seront également présentés tous les objets utiles ou décoratifs qui signent le style : aquarelles botaniques, beaux livres, compositions florales, mobilier de jardin et accessoires…
Rendez-vous sur le site de la Fête des Plantes de Saint-Jean de Beauregard
Pavillon du Roi : Face à l’urbanisation du Plateau un Saclaysien veut préserver le patrimoine
Avr 5, 2010Yann Lefranc, Médiateur Scientifique au Palais de la découverte, se souvient des parties de pêche à l’ombre du pavillon de chasse entre les deux étangs de Saclay. « J’avais 8 ans, mon papa avait obtenu un permis et je venais souvent de Palaiseau, où nous habitions, pêcher dans les étangs ».
En février 2010, M. Lefranc emménage au Val d’Albian. Il retourne alors sur son lieu de pêche. « 40 ans après, rien n’avait changé. Le pavillon de chasse était toujours là », dit-il. « Situés sur un terrain militaire, les étangs et le bâtiment ont été totalement préservés ».
M. Lefranc imagine alors de réhabiliter le pavillon de 64m2 construit en 1766. « On dit que le Roi Louis XIV venait y chasser le gibier d’eau et d’autres proies plus galantes »…
Déterminé, M. Lefranc a déjà obtenu deux réunions entre la DGA, propriétaire du pavillon, et la mairie de Saclay. « Nous cherchons maintenant à faire signer une convention entre la communauté de commune et la DGA pour pouvoir lancer le projet. Ce projet prendra du temps ». Si tout se passe comme il le souhaite, M. Lefranc voudrait pouvoir ouvrir le pavillon au public et en faire un observatoire de la biodiversité. Il aimerait également qu’on y surveille la qualité des eaux et la teneur en plancton des étangs. Il s’imagine même plonger pour explorer la boue à la recherche de mollusques.
Cependant le dossier reste encore à monter et il s’agira ensuite de trouver le financement.
Espérons qu’alors que de nombreux organismes vont élire domicile sur le plateau de Saclay, certains mécènes seront intéressés par cette action locale de préservation et mise en valeur de notre patrimoine historique.
Rendez-vous avec vos maracas, sifflets et instruments devant la salle Loisirs et Culture
du Val à 15h30 pour un défilé dans les rues du Val.
Le carnaval se terminera par un goûter. Vos spécialités pâtissières seront les bienvenues.
La fête se clôturera à 17h30.
Lors de la manifestation les enfants restent sous l’entière responsabilité des parents.
Nounou, Aide Informatique, Bricolage : vos voisins ont du talent !
Avr 1, 2010Les offres de services de MonSaclay.fr
Vous cherchez des baby-sitters, un jardinier, une personne pour vous soulager du repassage qui s’empile.
Vous rêvez qu’un voisin vienne vous aider à brancher votre nouvelle box ADSL ?
Cet été qui gardera Médor (là, c’est une question que je me pose
personnellement 😉 ?…
Dans sa rubrique Offrez vos Services vos voisins mettent leurs compétences à votre service.
Alors profitez-en ! Cliquez ici pour déposer votre offre
À l’occasion du dernier Comité de quartier du Bourg, le projet de construction de logements prévu rue de la Martinière (à l’emplacement anciennement de l’entreprise PHYSIMECA), a été dévoilé.
A la lecture des plans présentés, bien que l’ASES ne soit pas fondamentalement opposée à un programme immobilier sur ce terrain, nous émettons plusieurs réserves quant à la prise en compte des aspirations des habitants (présents comme futurs) et à l’intégration du projet dans le patrimoine urbain et environnemental de Saclay.
En tant que saclaysiens, vous avez le droit d’être informés sur les projets qui engagent l’avenir de la commune et d’exprimer vos attentes comme vos craintes. Dites-nous si vous êtes favorable au projet tel qu’il a été présenté.
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L’association « Terre et Cité » ( http://www.terreetcite.org/ ) organise dimanche 11 avril une sortie pédestre afin de découvrir ou redécouvrir la partie Est du Plateau.
L’ASES (Association de Sauvegarde de l’Environnement de Saclay) et les AVB (Amis de la Vallée de la Bièvre) vous invitent à contempler encore ce qui est menacé par les projets d’urbanisation OIN et Grand Paris : paysage, patrimoine architectural, fermes …
Une occasion de se sensibiliser sur la fragilité des richesses environnementales qu’il faut sauvegarder « afin de retrouver d’autres manières de gérer l’espace pour y vivre mieux, ensemble« .
Inscription : possible au départ mais mieux vaut prévenir
[email protected] ou appeler le 01 69 30 70 20
Participation 2 € par personne à donner au départ (gratuit pour les enfants de moins de 16 ans)
Venez nombreux passer une petite matinée d’information et d’agrément ouverte à tous les âges.
Alors rendez vous le 11/04 entre 9h et 9h30, à l’abbaye du Limon à Vauhallan.
NB : Voir le détail de l’opération sur le site de l’ASES.
Claude Allègre persiste et signe.
Son dernier livre est en tête des ventes à la FNAC.
Peut on s’épargner de l’acheter?
Car son titre pourrait bien s’appliquer à l’auteur :
«Misleading» (trompeur) et «unethical» (contraire à l’éthique) sont deux mots sévères issus d’un courriel de Hakan Grudd, paléo-climatologue suédois de l’université de Stockholm, qui proteste ainsi contre une falsification de ses travaux.
Voir l’article du 23 mars sur : http://sciences.blogs.liberation.fr/home/terre/
La courbe de température que Allègre lui attribue (mention «Grudd, 2008») a été « redessinée » pour introduire une décroissance après 2000.
La légende présente cette courbe comme la «température», sans précision de lieu, donc implicitement globale, alors que la courbe de Grudd représentait uniquement les températures estivales de la région de Tornetrask (dans l’extrême nord de la Suède). La température globale sur le globe suivrait elle fidèlement celle du nord de l’Europe ?
Cet « aménagement » prétend donc qu’il n’a jamais fait aussi froid depuis près de 1 500 ans!
Pour le journaliste Denis Delbecq, Allègre réinvente le climat :
http://www.lexpress.fr/actualite/environnement/quand-claude-allegre-reinvente-le-climat_854146.html
Claude Allègre, génie méconnu, vitupère aussi contre «des scientifiques dévoyés ambitionnant l’argent et la gloire», auxquels il reproche de s’être imposés par «un système totalitaire» et «mafieux», qui veut occulter que «la température a augmenté à peu près huit cents ans avant le CO2».
«Et le malheureux chercheur qui avait fait cette découverte essentielle a été versé dans le corps des techniciens» (par un directeur de recherche du CEA, Jean Jouzel).
Ce « malheureux », c’est Nicolas Caillon du Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement à Saclay, qui dément :
«Je n’ai jamais été versé dans le corps des techniciens. Je suis ingénieur de recherche au CNRS, à la suite d’un concours de recrutement que j’ai réussi en 2003, après ma thèse passée sous la direction de Jean Jouzel, qui est un ami».
Quant à la présentation que Claude Allègre a fait de ses travaux, Caillon s’insurge :
«C’est un manque d’honnêteté intellectuelle flagrant. Jamais les paléo-climatologues n’ont affirmé que les transitions glaciaires/interglaciaires depuis un million d’années étaient déclenchées par les gaz à effet de serre. Donc, la découverte du déphasage de 800 années entre le début d’un réchauffement survenu il y a 245 000 ans et l’augmentation de la teneur en CO2 de l’atmosphère n’est pas une surprise, c’est une quantification d’un phénomène attendu».
On peut être un « grand cerveau » et se fourvoyer en un combat douteux. Alors Eric Besson n’a pas manqué de manifester sa solidarité avec celui qu’il pensait retrouver en compagnon de route :
http://www.rtl.fr/fiche/5132180/eric-besson-prend-la-defense-de-claude-allegre-au-micro-de-rtl.html
Car l’usurpation de l’autorité de la science sans en respecter aucune des règles rencontre évidemment un écho chez les « climato-sceptiques ». Affirmer que le pire n’aura pas lieu, et que les mesures drastiques pour l’éviter sont inutiles, flatte l’espoir secret que chacun entretient. Ce qui explique sans doute le succès de librairie du livre.
Certains intellectuels vont jusqu’à invoquer le besoin d’organiser un débat public. Ils espèrent ainsi faire valider leurs thèses démagogiquement, hors de la communauté scientifique (procédé déjà utilisé aux USA par les « créationnistes »).
Voir article de Olivier Godard (chercheur au CNRS qui a théorisé sur le principe de précaution)
http://www.alternatives-economiques.fr/le-climat–l-imposteur-et-le-sophiste_fr_art_633_48600.html
Mais Claude Allègre se justifie en présentant son livre comme «un livre politique avant tout !». Sur ce point au moins, on peut le croire.
« Objet du scandale » le 14 mars sur France 2, il conclût que dans un pays où il y a 3 millions de chômeurs, ce n’est pas le réchauffement climatique qui prime.
Voudrait-il ainsi légitimer le choix de ne pas agir contre la racine commune de ces deux maux : la dérégulation d’un monde économique effréné?
Visitez le nouveau site de l’ASES réalisé par Philippe Jaconelli pour en savoir plus sur cette journée de grand nettoyage.
Saclay : des vestiges archéologiques de l’époque gauloise découverts sur le futur campus de l’Ensta à Palaiseau
Mar 24, 2010Par AEF
Un diagnostic archéologique réalisé par l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) a mis au jour les vestiges d’un établissement rural de l’époque de La Tène (approximativement autour de 300-200 ans av. J-C), sur le campus de l’École polytechnique à Palaiseau, à l’endroit même où doit s’installer l’Ensta ParisTech en 2012 (AEF n°124656). Joint par AEF, Christian Piozzoli, responsable territorial pour le suivi archéologique dans l’Essonne à la Drac d’Île-de-France, assure que ces vestiges gaulois ne remettent pas pour autant en cause les travaux de construction du campus : « Le ministère de la Culture et l’Ensta sont tombés d’accord pour faire en sorte que les fouilles s’effectuent dans les délais les plus brefs. Elles démarreront le mois prochain et le chantier devra être libéré à l’été pour le démarrage des travaux. »
Le directeur de l’Ensta ParisTech, Yves Demay, confie pour sa part être « rassuré » et « complètement confiant ». « Initialement, les travaux étaient prévus pour commencer début avril et se terminer en mars 2012. Les fouilles retarderont le chantier d’un à deux mois, mais tout a été fait pour réduire au maximum les délais administratifs. Ce sera compatible avec une livraison de l’école au printemps 2012 et l’accueil de la première promotion à la rentrée suivante.»
« LE PLATEAU DE SACLAY A UN FORT POTENTIEL ARCHÉOLOGIQUE »
L’expert de la Drac confirme par ailleurs l’intérêt de cette découverte : « Nous avons tenu à faire cette fouille car cette période est peu connue en Île-de-France. Il s’agit du premier site référencé dans l’Essonne, et plus particulièrement sur le plateau de Saclay. Cela mérite donc d’être examiné », estime-t-il. « En l’état actuel des choses, cet établissement aurait une superficie d’environ 1,8 hectares. Le plateau de Saclay semble finalement avoir été assez peuplé à cette période », reprend Yves Demay. « Les spécialistes s’attendent à trouver des fermes tous les 300 à 600 mètres, et des vestiges archéologiques avaient par ailleurs déjà été découverts sur le site de Danone. » Christian Piozzoli confirme lui aussi que « le plateau de Saclay a un fort potentiel archéologique ».
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Google Maps en collaboration avec l’Agence France-Presse vous propose de visualiser les résultats des prochaines élections régionales françaises.
Isabelle est propriétaire du salon de coiffure Oh !…Cheveux d’Or à Bièvres depuis 15 ans.
A l’image des grandes entreprises qui ont pris l’habitude de sonder leurs clients régulièrement, Isabelle a rédigé son propre questionnaire de satisfaction. « Je cherche à savoir ce que mes clients pensent de mes services », explique-t-elle. « Bien sûr cette enquête est anonyme ».
Sur son questionnaire Isabelle demande notamment un avis sur ses tarifs ou encore la satisfaction procurée par ses conseils.
Une telle initiative qui demande du courage mérite d’être saluée.
Les enfants à partir de 4 ans sont invités à venir écouter une conteuse professionnelle.
Cette heure sera illustrée par un conte chinois et se prolongera par un gouter. Vos spécialités pâtissières seront les bienvenues.
Venez nombreux dans la salle Lino Ventura au Bourg à 15h30.
Entrée libre. Lors de la manifestation les enfants restent sous l’entière responsabilité des parents