Festival les vendredi 1er et samedi 2 octobre 2010 à 20h30
Voir le billet précèdent sur Trashi Trasho.
Pour MonSaclay.fr Yann Bienzent l’un des fondateurs de l’ association Trashi Trasho revient sur dix années de spectacle à Saclay avant un festival qui pourrait être leur dernier.
MonSaclay: Cela fait 10 ans que votre association existe quel est votre meilleur souvenir ?
YB: Il y a forcément beaucoup de grands moments dans la vie d’une association. Je dirais, quand même, le concert de Rude Boy System le 3 juin 2000, un concert de soutien pour une mission humanitaire au Nicaragua, à laquelle nous participions. La salle était pleine, l’état d’esprit était vraiment génial.
Il y aussi eu, le concert de Hilight Tribe et puis plus récemment les repas à thèmes qui ont été de très bons souvenirs. Et puis les 10 ans, ce sera aussi un beau souvenir, pour sûr car nous recevons des groupes du coin avec qui nous avons évolués ces dix dernières années, mais aussi des groupes de grandes renommées.
MonSaclay: Aujourd’hui quels sont vos projets pour l’avenir ?
YB: Pour Trashi Trasho, on ne sait pas. Cela fait dix ans maintenant que nous nous organisons pour donner à Saclay une activité de concerts. On aurait bien aimé que des plus jeunes reprennent un peu le flambeau.
Pour l’instant, Trashi Trasho va se mettre en stand by même si les membres de Trashi Trasho se montreront encore actifs au détours des manifestations de l’association « Alors, on le fait…!? » qui organise des événements avec des artistes internationaux. Il y a une place pour les Musiques Actuelles à Saclay. Aux élus de le voir.
MonSaclay: Combien de personnes attendez vous lors de votre festival ?
YB: On aimerait qu’il y en ait beaucoup, après vous dire combien… On a tablé sur 100 spectateurs par soirs, mais on pense qu’on en aura un peu plus.
MonSaclay Quel est le prix d’entrée?
YB: 10 euros par soir / 13 euros le pass pour les 2 soirs. Rdv à 20h30 à l’Espace Lino Ventura 91400 Saclay Bourg
VENDREDI 1er OCTOBRE
ONCLE STRONGLE – Acoustique / Swing / Rock
Mais d’où vient Oncle Strongle? La Nouvelle-Orléans, de Chicago ou de Harlem? De nul part et de partout: dès que vous entendez les premières notes, vous vous trouverez dans l’atmosphère enfumée d’un bar clandestin, à l’époque de la prohibition … De bars en cafés, de fêtes en festivals, les six protagonistes ont acquis une solide expérience de la scène. Ils ont commencé à faire revivre les classiques du swing avant de développer leurs propres chansons, créant ainsi leur propre histoire et la réalité d’un style musical. « La Nouvelle-Orléans n’est pas morte» était leur devise sur de nombreuses tournées et le sextet repose toujours sur le son et le look des années 1930.
TRANKILESHA – Ska / Jazz
L’origine de cet orchestre remonte à plusieurs années, lorsqu’une salle de lycée se libère pour que de futurs troubadours et joueurs de clairons viennent s’y exprimer*. Cette opportunité donnée, un ensemble composé d’une rythmique et d’une section cuivre se forme autour d’une musique, écrite et improvisée en commun, influencée par les classiques ska jamaïcains, le blues mais aussi le rock’n’roll et à peu près tout ce qui passe par les oreilles de ces jeunes gens.
Né d’une réelle volonté de jouer de la musique ensemble sans direction mais en concertation, l’orchestre prend la forme d’un atelier où tout le monde peut apporter sa touche personnelle. Pendant plusieurs années, le groupe se produit dans les MJC environnantes, les bars des alentours, les squatts et quelques festivals en province.
DUBERMAN – Dub / Electronique / Rock
Né en 2000, Duberman est un quintet de musiciens issu de la scène ska, reggae et hardcore. En 10 ans le dub du combo s’est d’ailleurs affiné sur scène avec plus d’une centaine de concerts à son actif.
Duberman joue en effet un dub teinté de rock et mâtiné de quelques samples très cinématographiques. L’ensemble, pour trouver des références, serait un savant alliage entre l’électro dub d’High Tone et le rock de Lab°, le groupe ne rechignant pas à pousser vers les contrées hardcore.
IRO – Live machine
IRO est un nouveau projet des membres de Throw Panda Bat… Un live machine qui allie électro-rock et sonorités de toute part
SAMEDI 2 OCTOBRE
LOFOFORA – légende du métal
Est-il encore besoin de présenter Lofofora ? Plus de quinze ans après ses débuts sur les cendres encore chaudes de l’alternatif, Lofofora demeure l’un des meilleurs représentants de la scène rock hexagonale, au-delà des modes et des courants auxquels on a bien voulu l’associer.
JOKE – fusion
Formation explosive de 8 musiciens issus de la banlieue parisienne. Dans leurs compositions, ils mêlent punk, ragga, soukouss, rock, fusion, hip hop, etc … ça part dans tous les sens : cuivres et scratchs déjantés, textes impliqués et section rythmique enragée.
BUSTER BAZAR – rock bazardique
www.myspace.com/vivelarepublic
Le Buster Bazar, c’est huit musiciens qui font du rock bazardique avec des instruments avant-gardistes des républiques de l’est (guitare/basse/batterie) et des sonorités étranges dues à ceux de la mouvance punk des années 30 (violon/didgeridoo/flûte).
C’est aussi des mises en scène loufoques dans un univers déjanté et imprévisible avec comme devise : imposer sa pêche partout où il passe.