Source: Le Journal du Net
Canton Gif-sur-Yevette
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Canton Orsay
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Source: Le Journal du Net
Canton Gif-sur-Yevette
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Canton Orsay
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Nous apprenons à l’instant que Fabrice Pitrou qui avait disparu vendredi aprės midi a étè retouvé dans la nuit de samedi à dimanche 20 mars.
Sur le plateau de Saclay les cantons de Gif sur Yvette et d’Orsay sont appeler à voter le 20 et 27 mars.
Certains candidats font entrer le développement du plateau dans leur programme électoral.
Source : Le Figaro
Une page de l’histoire politique française de 222 ans va se tourner dimanche. Les Français ont élu leurs conseillers de département pour la première fois en 1789. Ils éliront vraisemblablement leurs conseillers généraux pour la dernière fois les 20 et 27 mars prochain. Raison de cette révolution ? La réforme des collectivités territoriales, lancée en 2008 par Nicolas Sarkozy et votée cet hiver, qui prévoit la suppression des conseillers généraux et régionaux en 2014, remplacés par des conseillers territoriaux. Mode d’emploi du dernier scrutin des cantonales.
• Qui vote ?
Sont soumis au renouvellement la moitié des cantons de France, soit 1 938 cantons en métropole et 85 dans les territoires d’outre-mer. Les sièges concernés sont ceux qui avaient été renouvelés en 2004. Les conseillers généraux élus en 2008 poursuivent leur mandat de six ans jusqu’en 2014. Tous les départements, à l’exception de Paris, sont concernés. Mais le découpage des circonscriptions peut faire que dans une même ville, certains électeurs seront appelés à voter et d’autres non.
• Qui se présente ?
10 361 candidats se disputent les 2 026 sièges à pourvoir pour un mandat de trois ans. Seuls le PS et l’UMP présentent des candidats dans la quasi-totalité des cantons. Le Front de gauche revendique, lui, 1 660 candidats, le Front national 1 500, Europe Écologie 1 400, le Nouveau Centre et le MoDem environ 400 chacun, Debout la République une centaine.
Source : vie-publique.fr
Le département apparaît comme le principal bénéficiaire des transferts de compétences effectués depuis 1982. Ainsi exerce-t-il des responsabilités dans les quatre domaines d’action suivants, le principal étant l’action sociale :
Les compétences du département comprennent notamment : la construction, la reconstruction, l’extension, les grosses réparations, l’équipement et le fonctionnement des collèges.
Voir la liste des 123 candidats en Essonne
Voir la carte des cantons renouvelables en Essonne
Le débats sur le Plateau de Saclay dans les cantonales
Le point de vu de Dimitri Tchoreloff du Modem
Vu sur le site: http://plateaudesaclay.lesdemocrates.fr
2003-2011 boocan.com
Cantonales 2011 : Sur le canton de Gif-sur-Yvette, le candidat du Modem Dimitri Tchoreloff fait du débat sur l’avenir du Plateau de Saclay un thème de sa campagne, “on ne sait pas le nombre ni le type d’établissements qui seront vraiment présents sur le Plateau de Saclay!”
Lors de la réunion publique organisée lundi soir à Gif, Dimitri Tchoreloff, a formulé plusieurs craintes concernant la réalité de la venue d’un certain nombre d’établissements sur le Plateau de Saclay
Dimitri Tchoreloff a fait la – longue – liste des incertitudes qui planent encore sur l’aménagement du Plateau de Saclay, pointant surtout le manque d’information des élus.
Alerte sur le Plateau de Saclay !
Si l’intention d’origine de ce qui est prévu sur le Plateau de Saclay : rassembler centres de recherche, grandes écoles, voire universités, en un Pôle de compétitivité de niveau mondial, pouvait être considérée comme volontariste et constructive vis-à-vis de la concurrence internationale, force est de constater qu’à ce jour, ce projet inclus dans celui du « Grand Paris » tourne à l’incohérence et à la cacophonie générale ! Des grandes écoles qui finalement ne viendraient plus ?
Que penser des effets d’annonce du Président de la République et de ses ministres concernant l’arrivée sur notre territoire d’un pôle pharmacie qui finalement s’implanterait du coté du Kremlin-bicêtre ; de l’Ecole Nationale Supérieure qui souhaite rester à Cachan, des interrogations dans le cadre du plan campus sur les entités censées monter de la vallée vers le plateau ? Les incertitudes sont telles que c’est le projet scientifique lui-même qui peut être remis en cause !
Orsay
Que ce soit la gauche ou la droite, les candidats développent leurs propositions pour améliorer les transports sur les communes de Bures-sur-Yvette et d’Orsay. Soutien sans faille du projet gouvernemental de métro automatique desservant le plateau de Saclay, Raymond Raphael (UMP) estime que les déplacements doivent s’articuler « autour du projet du Grand Paris et de la double boucle ».
A l’inverse, David Ros (PS) estime sur son site, qu’il serait « opportun que l’Etat ne se borne pas à imaginer des projets pharaonique à 20 ans en oubliant les besoins criants et urgents du présent ». Le Conseiller général sortant met l’accent sur la nécessité d’obtenir des aides pour les investissements sur la ligne B du RER.
Source : Essonneinfo.fr
Les lecteurs de monSaclay.fr sont majoritairement contre l’ouverture du pont de Vauboyen. En effet, sur 61 personnes ayant votés 50 se sont prononcés contres soit 81%.
Corine se prononce pour l’ouverture si le trafic est ralentit.
Elle écrit « Il me semble important d’envisager des chicanes et/ou ralentisseurs pour les rues Victor Hugo et Émile Zola sans attendre que les difficultés apparaissent. La circulation est un véritable problème et les conducteurs sont les rois des oiseaux puisque les trottoirs permettent que l’on roule dessus pour se croiser. C’est une exception locale au code de la route !
Ces deux rues sont très parallèles (et donc ne se rencontrent pas !), l’ouverture à la circulation bien gérée permettrait une intégration plus simple de ce nouveau quartier ne serait-ce que pour des accompagnements d’enfants pour des activités (compliqués au regard de la topographie de notre ville !) lorsque les familles sont à l’une des extrémités des rues. Je pense également, qu’elles doivent rester à double sens car c’est une régulation naturelle de savoir qu’il y a peut-être une voiture en sens opposé. Pour le stationnement, le Parc sera toujours un point noir mais le manque de civisme de certains habitants du Val est aussi une réalité ! »
De sont côté François Letendre est également en faveur de l’ouverture du pont : « La circulation est toujours un point délicat. Jusqu’à présent, les riverains de la rue Victor Hugo supportent dans les deux sens le passage des bus, des automobilistes qui vont vers le Parc de Diane, aller à l’école et autres. A partir du fait que l’on construit un nouveau quartier, c’était, me semble-t-il le moment d’améliorer les conditions de vie de tout le Val d’Albian. Eh non, tout doit continuer comme avant, usage des trottoirs par les autos, stationnement intempestif sur la voie publique, non respect des stops et de plus tant pis pour les pompiers, ambulances et autres, ils ont assez avec la « voie rapide » de la rue Victor Hugo ! Tant pis s’ils arrivent un peu trop tard ! A suivre ! »
Argument contre lequel s’élève Guillaume Kasperski, « Si cette ouverture n’avait comme conséquence prévisible qu’une répartition de la circulation existante, je serais d’accord avec le précédent argument, car la circulation dans la rue Victor Hugo n’est pas forcément facile. Mais le risque consiste aussi en une augmentation globale du trafic, le transit par Saclay étant globalement très simplifié. Dans un sens les difficultés de circulation de la rue Victor Hugo limitent aussi la circulation.
Profiter de la création d’un nouveau quartier pour repenser la circulation dans le village est une bonne idée. Mais cela aurait dû être fait en amont des constructions. Pour les habitants de ce nouveau quartier, voir une grosse modification de la circulation juste après l’achat de leur maison est certainement vécu comme une très grosse arnaque.
Sinon, je n’ai toujours pas compris comment un sens unique pouvait gêner un véhicule prioritaire, et suis toujours très inquiet en imaginant des pompiers arrêtés par un cadenas rouillé. »
Coste appel le maire à s’informer sur « les moyens modernes mis a la disposition du territoire français, en effet des sociétés de sécurité proposent différents système de de passage pour accès pompiers et autre, du genre, bornes escamotables.
Système qui fonctionne très bien, sans avoir à utiliser un vieux cadenas des temps anciens…
Utilisé, dans beaucoup de villes, pour limiter les accès aux non résidents… »
Vianney Lecroart partage l’opinion de Coste, « Je comprends que le maire a des contraintes mais franchement, son approche est vraiment discutable.
Plutôt que résoudre le problème correctement avec solution qui fonctionne, il préfère mettre en place une solution qui ne fonctionne pas et qui va poser d’autres nouveaux problèmes et résoudre ces nouveaux problèmes plus tard (sans compter que les dos d’âne, ça ne marche pas! Il y en a des tonnes sur la rue principale à Jouy et les gens roulent toujours aussi vite…).
Il existe déjà plein de solutions qui fonctionnent pour laisser passer QUE les véhicules de pompier et de secours…
Et si le maire a tant envie d’essayer ses solutions pour faire ralentir les voitures, qu’ils les mettent sur le chemin des charbonniers et on verra si elles fonctionnent. »
Pour conclure, Vassil appel à réfléchir au devenir de notre ville. « Notre intérêt semble à l’évidence de préserver ce lieu et de le maintenir tel qu’il est c’est à dire fermé à la circulation et bien sûr comme cela a été indiqué de laisser un accès aux véhicules de sécurité.
il faudrait réfléchir de façon un peu plus générale et un peu plus approfondie à ce qu’est est le Val d’Albian et ce qu’il pourrait devenir demain …
que veut-on exactement ? Une zone de flux, de transit, de passage ? Il faut qu’un peu plus de vie « s’arrête » au Val ! Des commerces, des zones de vie, une identité à défaut d’une âme … pas juste un endroit à 10km de Paris où les résidents galèrent pour se garer devant chez eux et les autres se réjouissent d’avoir trouvé un bon raccourci ! »
Les deux catastrophes nucléaires du Japon ravivent la crainte de l’atome à travers le monde.
A Saclay, nous vivons à un jet de pierre de deux réacteurs nucléaires de recherche. Nous sommes tellement liés à l’atome qu’un noyau d’atome entouré de quatre électrons orne notre blason.
Nos lieux publics sont équipés de comprimés d’iode et la mairie en distribue aux habitants du Bourg. Le nucléaire fait partie de notre vie.
Pourtant le site atomique du Commissariat à l’Energie Atomique (CEA) de Saclay n’est pas un site anodin. Il date de 1950 et l’autorité de sureté nucléaire (ASN) le surveille de près. Lors de sa dernière enquête en 2009, l’ASN disait rester « vigilante sur le plan de la maîtrise de l’urbanisation autour du site de Saclay, avec le double souci de s’inscrire dans le cadre national en cours de définition en lien avec le ministère en charge de l’environnement et d’informer les collectivités du risque généré par les installations nucléaires. »
Il est vrai qu’avec le développement du plateau de Saclay et des nouvelles habitations au Val d’Albian, le CEA est de moins en moins isolé.
L’ASN note par ailleurs « que les évènements significatifs survenus en 2009 dans le centre révèlent des défauts récurrents dans les systèmes de piégeage de l’iode, ainsi que des lacunes dans les conditions de surveillance d’équipements anciens ».
Par ailleurs, le 18 mars 2010 à 5h00, le CEA a détecté un débordement d’environ 20 m3 d’effluents faiblement radioactifs de la cuve A9 située dans un local de l’INB n°35 du centre CEA de Saclay. Ces incidents sont publiés sur le site de l’ASN.
D’un rayon d’environ 2,5 km, il concerne les communes de :
Le PPI (Plan Particulier d’Intervention), établi par le Préfet, a pour objet de protéger les populations en cas d’accident sur une installation nucléaire. Il précise les missions des différents services concernés, les schémas de diffusion de l’alerte et les moyens matériels et humains.
En lire plus sur les incidents au CEA
Site du CEA de Saclay sur le site de l’ASN.
Les Gestes de Précaution et de Prévention en Cas d’Accident (PDF)
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Quatre jours après la journée de la femme, Le Club des Seniors de Saclay organise ce week-end une exposition intitulée « Le Quotidien de la femme autrefois » salle Lino Ventura à Saclay Bourg.
M. Bernard Marc a réuni de très nombreux objets provenant de la collection privée de Mme Annie Guimard.
L’exposition met en situation les outils que les femmes utilisaient autrefois aussi bien dans leur quotidien domestique qu’au travail. Les organisateurs ont réalisé de grands panneaux où illustrations et textes d’explications éclairent le visiteur sur l’usage de ces objets aujourd’hui disparus.
L’exposition a été rendue possible grâce au travail des membres du Club des Anciens et de la mairie de Saclay qui a fourni une fourgonnette pour le transport des objets.
Lundi, les élèves du Bourg et du Val pourront visiter l’exposition.
Horaires d’ouvertures : de 10h à 18h samedi 12 et dimanche 13 mars.
M. Hervé Hocquard, le maire de Bièvres et Conseiller régional administrateur représentant les maires à l’Etablissement Public de Paris Saclay a communiqué à MonSaclay.fr une correspondance avec le Sénateur de l’Essonne. (Voir le PDF de cette correspondance).
Dans un courrier adressé le 3 février 2011 à M. Hocquard, le Sénateur Laurent Béteille apporte une précision essentielle sur l’article définissant la zone de protection agricole, naturelle et forestière du plateau de Saclay.
Alors que dans les semaines qui viennent les terres sanctuarisées vont être définis, M. Hocquard souhaitait s’assurer que seules les terres situées à la fois sur l’une des 15 communes (annexe B) et dans le périmètre de l’OIN puissent entrer dans le décompte des 2300 hectares.
M. Hocquard craignait en effet que « des espaces agricoles importants situés sur les 15 communes mais hors du périmètre de l’OIN […] ne concourent à l’atteinte des 2300 hectares, ce qui livrerait autant d’espaces à l’urbanisation sur le Plateau.
Pierre Veltz, le Président-Directeur Général du Conseil d’Administration de l’Etablissement Public de Paris-Saclay «devrait associer plus constamment les élus locaux » dans la définition des options d’aménagement sur le Plateau, déclarait M. Hocquard lors du dîner MonSaclay Live, samedi 5 mars.
« Il serait dommage et préjudiciable que ce projet ne soit pas davantage le fruit d’un travail collaboratif. Les quelques semaines à venir seront tout à fait importantes de ce point de vue car des options déterminantes devront être prises », ajoute M. Hocquard
M. Hocquard rappel que la loi de protection naturelle de 2300 hectares prévoit une enquête publique, une concertation de l’ensemble des maires de la région parisienne et des représentants des mouvements de protection de l’environnement.
Annexes B
Liste des communes visées à l’articles 35
Pour empêcher l’ouverture à la circulation du petit pont situé sur la rigole entre la rue de Vauboyen et la nouvelle rue Emile Zola au Val d’Albian à Saclay un certain nombres de saclaysiens réunis derrière Messieurs Stéphane Colucci, Christophe Ducluzeau et Gilles Lecornay pétitionnent Christian Page, le maire de Saclay depuis le 25 janvier.
« Le pont sera ouvert », a déclaré M. Page à MonSaclay.fr mercredi 9 mars, lors d’un entretien téléphonique, « mais nous ne l’ouvrons pas à tout le monde ». Seuls les véhicules légers pourront emprunter le pont car il n’a pas été prévu de l’élargir.
Aujourd’hui, la rue Emile Zola est une impasse.
Voici le texte de la pétition:
Monsieur le Maire
Au nom des habitants de Saclay et en particulier des rues Emile Zola et Victor Hugo, nous nous permettons d’attirer votre attention quant aux dangers, contraintes, et effets néfastes si le conseil municipal souhaitait ouvrir le pont de Vauboyen. Vous trouverez ci-après l’ensemble des points à considérer.
Ecole
Délestage N118
Parking Parc de Diane
Décidé en 2003, à la création de la ZAC de la Mare aux Saules, l’ouverture du pont de la rue de Vauboyen et de la rue Emile Zola aurait permis de désengorger la rue Victor Hugo.
Cette décision avait été prise pour sécuriser les enfants se rendant à l’école. Hors l’entrée principale de l’école se trouvant maintenant Rue Emile Zola, cette décision n’a plus de sens.
La conséquence en ouvrant le pont de Vauboyen ne ferait que déplacer le problème de sécurité de l’école en rendant la zone accidentogène. Ce qui est finalement l’effet contraire à la décision initiale.
Solution :
Laisser la possibilité aux véhicules prioritaires (Pompiers, Samu…) de passer avec une clé/cadenas spécifique. Par ailleurs nous souhaitons vous re-communiquer le sondage effectué en 2009 :
Enfin, et afin d’être le plus pertinent possible, nous ajoutons à ce courrier l’ensemble des signatures de nos concitoyens concernés le plus directement par le sujet.
Nous vous remercions de votre compréhension et de la bienveillance avec laquelle vous examinerez notre requête.
Dans l’attente d’une proposition de rencontre, nous vous prions de croire, Monsieur le Maire, à l’assurance
de notre considération distinguée.
Très cordialement
« C’est toujours une situation délicate », explique Christian Page. « A la place des habitants de la rue Emile Zola j’aurais peut-être signé la pétition ».
« En ouvrant la rue nous suivons les conseils de la sécurité routière et des pompiers. La rue est trop longue pour la laisser en sens unique ».
La maire ajoute qu’une barrière qui ne serait ouverte qu’aux véhicules de sécurités pose d’autres problèmes : « Les clés se perdent les cadenas rouillent»…
« La seule chose qu’on puisse faire c’est ouvrir et voir. Je ne pense pas qu’on augmente le trafic. Si c’est le cas on mettra des ralentisseurs » promet le maire.
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En tant que représentante des parents d’élèves FCPE au collège Alain Fournier d’Orsay et membre du Conseil d’administration du collège, il me semble important de vous communiquer des informations importantes sur la Dotation Horaire Globale qui diminue au Collège et qui de fait aura un impact sur la qualité de l’enseignement dispensé à nos enfants dés la rentrée prochaine.
Bérangère Pagès
16.000 postes dans l’enseignement sont supprimés pour l’année 2011, ils viennent s’ajouter aux 46.000 suppressions de ces 4 dernières années.
En Essonne, de nombreux Collèges et Lycées voient leur dotation globale baisser, compromettant toute possibilité d’assurer les cours indispensables en demi-groupe, en langues ou en sciences, et impliquant une augmentation des effectifs par classe à plus de 30 élèves en collège et à plus de 35 en lycée, dépassant la capacité d’accueil maximale des salles de cours.
Pour le collège Alain-Fournier il est prévu pour la rentrée 2011, 31 élèves de plus alors que la dotation horaire baisse de 11 heures, le rapport heure/élève passant à 1,14. Ce taux est le plus bas jamais atteint au collège, il est un des plus bas de l’Essonne, ignorant cette année encore la dotation et les accompagnements souhaitables pour l’animation de la classe ULIS.
Cela entraîne pour la prochaine rentrée:
– des horaires allégés dans plusieurs disciplines :
– moins d’options,
– plus aucune latitude pour organiser des cours de soutien,
– des classes à 29-30 élèves.
Le conseil d’Administration du collège a voté à l’unanimité contre la proposition de répartition horaire issue de cette dotation.
Cette situation est d’autant plus intolérable qu’une étude de l’OCDE confirme la dégradation du système éducatif français.
Nous devons exiger que les moyens nécessaires soient attribués à chaque établissement.
Pour cela vous pouvez :
L’agence de L’espace Info Energie du Plateau de Saclay lié à l’ADEME : l’ATEPSà ouvert le 1er février.
Lors de la première réunion de MonSaclay Live, certains participants ont souhaité apprendre à créer des Groupes sur le Réseau. Voici une vidéo qui, je l’espère devrait leur mettre le pied à l’étrier.
Vingt et une personnes se sont réunies samedi 5 mars au restaurant l’Etoile de Saclay pour la première de MonSaclay Live, la réunion du réseau social MonSaclay.fr.
L’objectif était de réunir les membres et les contributeurs du site pour mettre en commun leurs expériences et faire évoluer le site.
Hervé Hocquard, maire de Bièvres, était présent car pour lui, « MonSaclay est un fantastique outil d’information et d’échange sur le Plateau. C’est le seul média vraiment neutre et non-partisan ».
De son côté Philippe Auger un Bièvrois et futur habitant de Saclay explique qu’il consulte le site pour se renseigner sur Saclay et pour y socialiser avant d’emménager en juin.
Les attentes des participants à MonSaclay Live sont à l’image du site : centrées sur une recherche d’information locale et sur un besoin d’échanger avec les membres d’une communauté d’intérêts ou d’idées.
« J’aime recevoir le résumé des derniers articles par emails », dit Danièle Guérin une habitante du Val d’Albian. « Le site me permet de m’informer aussi bien sur le développement du Plateau de Saclay que sur les activités des associations de la ville », ajoute Isabelle Leduc qui vit au Bourg et aimerait fédérer sur MonSaclay.fr les parents d’enfants scolarisés à Versailles pour, par exemple, faciliter le covoiturage.
Vianney Lecoart, un administrateur de MonSaclay.fr, explique qu’il est important pour faire évoluer le site, de comprendre les attentes des membres et les freins que peuvent rencontrer les utilisateurs.
Deux ans après son lancement, 365 articles ont été publiés et le site est consulté quotidiennement par 150 personnes en moyenne. Le référencement et la fréquentation de MonSaclay.fr sont excellents. Il faut par contre augmenter le nombre des contributeurs et des commentateurs.
Claude Duez, le responsable du comité de quartier du Bourg, s’interroge sur la façon de faire encore mieux connaitre le site auprès des Saclaysiens.
Nella Pacaud, maire honoraire de Saclay, se montre surprise que les associations et les clubs ne cherchent pas plus à utiliser le site pour promouvoir leurs activités et communiquer entre leurs membres au sein des forums.
Cette réunion a permis aux administrateurs de réaliser que pour beaucoup de participants, les avantages de la version 2 du réseau et l’intérêt des groupes ne sont pas encore bien compris. Il a donc été décidé de réaliser des vidéos de démonstrations et de simplifier au maximum le processus d’inscription au site.
« Je suis l’évolution du site depuis son début », dit Philippe Pascual qui vit au Val. « Aujourd’hui le site prend de l’ampleur et je pense qu’il peut jouer un vrai rôle pour faciliter l’emploi sur le Plateau. En tant que professionnel de ce secteur je me propose donc de réfléchir à ce nouveau service».
Après la réunion et un apéro qui a permis aux membres de mieux se connaitre, MonSaclay Live a été clôturée par un excellent dîner partagé par 11 membres à l’Etoile de Saclay.
Après vu le succès de cette soirée et les attentes des participants, une nouvelle réunion MonSaclay Live sera organisé avant l’été.
Un lecteur nous avait averti il y a quelques temps de nombreuses voitures sont forcées et parfois volé sur Saclay.
Cette nuit c’est le Grand C4 Picasso de mon épouse qui a été volé à l’angle de la rue Voltaire et Victor Hugo, au Val d’Albian.
Le gendarme qui à reçu notre déposition n’était nullement surpris. « Des professionnels écument le département de l’Essonne. Ils doivent avoir une commande de monospaces en ce moment, » dit le gendarme de la Brigade d’Orsay.
A chaque fois le mode opératoire est le même : la porte est forcée, un ordinateur est connecté sur la prise de diagnostique de la voiture et l’ordinateur de bord est réinitialisé pour permettre de démarrer avec une nouvelle clé.
« Ne vous faites pas d’illusion », dit le gendarme, « on ne retrouve jamais les véhicules ».
L’association Ainsi Danse organise ce samedi 5 mars un « concours de danse » à partir de 20h30.
En fait nous avons proposé à nos adhérentes de 10 ans et plus, d’inventer elles-mêmes une petite chorégraphie à plusieurs et de la présenter devant un jury.
Nous avons donc quelques courageuses qui se sont lancées dans l’aventure :
Ce qui est intéressant, c’est que presque tous les styles de danse que nous pratiquons au sein de l’association seront représentés.
Nous aurons :
Chaque chorégraphie dure entre 2 et 5 minutes, donc l’ensemble ne sera pas très long. Mais l’entrée est libre, si vous souhaitez venir les encourager…
Alors RDV ce samedi 5 mars, à partir de 20h30, dans la salle de danse, au gymnase du Val d’Albian.
par Baptiste Roux Dit Riche | Cleantech Republic | 02.03.11
Dépasser les exigences du « Grenelle 2 ». C’est l’objectif de la Société du Grand Paris qui présentait ce matin sa politique de développement durable pour son projet de métro automatique en Île-de-France. Un nouveau réseau dont les premiers tronçons doivent être mis en service dès 2018. En attendant les premiers coups de pioche, la Société du Grand Paris a déjà concrétisé, l’an dernier, ses bonnes intentions vertes par la réalisation d’une évaluation stratégique environnementale de son futur métro.
Précédant la phase de débat public du projet (30 septembre 2010 au 31 janvier 2011), cette étude avait pour objectif d’identifier l’ensemble des enjeux environnementaux liés à la construction du réseau. L’idée étant notamment de réfléchir sur le tracé et le mode de déploiement (aérien ou souterrain) du futur métro. « C’est la première fois en France qu’une évaluation stratégique environnementale était un pré-requis à la création d’un réseau de transport explique Florence Castel, Directrice du développement durable et de la qualité au sein de la Société du Grand Paris.
L’identification des enjeux environnementaux nous a notamment permis d’affiner le tracé, d’estimer la profondeur des tunnels et de définir l’emplacement de certaines gares ». Citons ainsi l’exemple emblématique du plateau de Saclay où une attention particulière a ainsi été portée à la protection des terres agricoles.
Samedi 5 mars 2011 à 19 heure MonSaclay.fr organise une réunion informelle au restaurant L’Etoile de Saclay.
Cette soirée sera l’occasion de permettre à ceux qui font le réseau MonSaclay.fr depuis maintenant un an et demi et à ceux qui veulent mieux utiliser le site d’apprendre à le faire et de se rencontrer lors d’une réunion suivie pour ceux qui le souhaitent d’un dîner.
Inscription (http://monsaclay-email.eventbrite.com)
…mais il ne reste que peu de places, alors réservez vite.
A samedi
Dimanche 27 février à 15 heures à l’initiative d’un collectif local et du réseau social MonSaclay.fr une quinzaine de personnes sont venus montrer leur soutient aux Roms du Petit-Clamart avant leur évacuation prévue dans les prochains jours.
M. Yves Doucet un habitant de Meudon très engagé auprès des Roms a évoqué des projets pour mieux héberger les Roms à l’avenir (voir la vidéo).
Le collectif animé par M. Doucet étudie en effet la mise en place d’une maîtrise d’Oeuvre Urbaine et Sociale (MOUS). Il y à déjà quarte MOUS Roms en Seine-Saint-Denis.
Le préfet des Hauts-de-Seine a décidé de faire évacuer et démanteler à brève échéance le campement précaire situé à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), entre la nationale 118 et le bois de Verrières, dans lequel s’abritent depuis un an une quarantaine de Roms de nationalité roumaine. On connaît la suite : emploi de la force publique pour déloger les occupants puis du bulldozer pour détruire le campement et « nettoyer »le terrain. Quant aux Roms, ils seront « renvoyés dans leur pays », en Roumanie.
Nous ne contestons pas les raisons invoquées par la préfecture pour justifier son action : occupation illégale du terrain, campement insalubre et potentiellement dangereux etc. Mais n’y a-t-il pas d’autre choix que la destruction du camp et l’expulsion des familles ?
On le sait bien, outre le traumatisme infligé aux familles et en particulier aux enfants, ceci ne règlera rien. Stigmatisés et maltraités en Roumanie, ils ne manqueront pas de revenir dans les mois, voire les semaines qui suivent. Déjà chassés de Meudon en 2008, puis de Clamart, la persistance de leur présence est la marque de leur volonté de s’établir dans notre pays. Des associations sont prêtes à les y aider, tant sur le plan matériel qu’en aidant à la scolarisation des enfants et à l’alphabétisation des parents.
On a su, dans le passé, éradiquer des bidonvilles en proposant de meilleures conditions d’hébergement ; on peut encore le faire aujourd’hui, à condition que les pouvoirs publics fassent le choix de l’intégration et non de l’exclusion.
Discriminés depuis toujours, ce sont des Européens « pas comme les autres » puisque nul ne leur reconnaît les droits que leur confère pourtant leur citoyenneté européenne. Si le cas des Roms doit bien évidement être traité au niveau européen et en particulier en Roumanie, la France se doit d’en assumer sa juste part et permettre à ceux qui en ont fait le choix de pouvoir vivre parmi nous dans des conditions dignes.
Jean Ganeval
Président de la Fédération des Hauts-de-Seine de la Ligue des droits de l’Homme
[email protected] – http://ldh92.voila.net
Section LDH de Châtenay-malabry
Section LDH de Clamart, Sèvres, Meudon
La préfecture Préfet des Hauts-de-Seine a décidé de détruire le camp situé le long de la N118 (devant Usine Center).
Nous ne pouvons pour le moment rien faire de plus pour les Roms qui après destruction du camp vont être expulsés, alors montrons leur un peu d’humanité.
Venez nombreux pour leur dire qu’ils ne sont pas seuls.
Ensemble passons « Une heure de solidarité avec les Roms du Petit Clamart »
Pour vous garer en venant de Saclay, prenez la N118 direction Paris, puis la bretelle vers le Petit-Clamart et garez vous derrière les plots en plastique à droite, le long du terrain.
Contact : Stanislas Berteloot [email protected]