Haut Débit, Info Citoyen, Val d'Albian

Passage à la Fibre

Jan 2, 2014

Comme on me l’a demandé plusieurs fois, voila un petit résumé de comment s’est passé mon passage de l’ADSL à la Fibre Optique.

J’étais chez Orange avec un offre Open ADSL. Comme beaucoup d’entre vous, j’avais un débit de dingue, qui frôle les 3 mbps en descente avec le vent dans dos collé à un camion :

fibre before

Pendant ces 2 année, je n’ai rien eu à reprocher à Orange. J’ai toujours eu un débit faible mais stable et sans perte de connexion, sauf le jour où il y a eu le vol d’un câble ADSL mais Orange n’y pouvaient rien.

Depuis l’annonce de l’ouverture de la fibre, fin décembre, je vérifiais tous les jours si j’étais éligible sur ce site.

Jusqu’au jour, le 18 décembre 2013, où j’ai eu la confirmation. Je me suis empressé de contacter Orange qui m’a proposé un rendez-vous avec un technicien pour le 27 (donc moins de 10 jours). Etant ailleurs, j’ai pris rdv pour le 2 janvier au matin.

J’ai choisi l’offre « Edition Open Play 4G/H+ Fibre » avec une limite théorique annoncée de 200 mbps.

Après une confirmation par téléphone 48h avant et un SMS, le matin même, on m’annonce que finalement le technicien a un empêchement (nouvel an trop arrosé? :)). Heureusement une autre équipe a pris en charge mon rendez-vous et sont arrivé à 11 h.

Très pro et efficace, l’installation s’est faite en 1h15, montre en main. Il faut dire que tout a été prévu dans les nouveaux logements du Val d’Albian. Il suffit juste de passer la fibre dans un des 2 fourreaux libres entre la rue et le panneau électrique et faire 4 soudures optiques.

Pour ma part, j’ai placé la box directement dans la boitier électrique, ce qui simplifie encore l’installation.

tableau electronique

La fibre (1) sort du fourreau et entre dans un boitier en plastique (2) servant juste à enrouler la fibre. Ensuite la fibre va dans un convertisseur fibre – ethernet (3). En effet la livebox n’a pas d’entrée fibre, ce convertisseur est donc indispensable pour transformer le signal lumineux (fibre optique) en signal électrique (câble ethernet). En sortie du convertisseur, il y a une prise RJ45 et un simple câble ethernet relit ce boitier à la livebox (4).

Il faut donc prévoir 2 prises de courant, une pour la livebox et une pour le convertisseur.

Le moment tant attendu arrive, je peux enfin tester le fameux débit et je n’ai pas été déçu !

fibre after

 

283,76 mbps soit plus de 100 fois le débit avant migration. D’après le technicien, Orange annonce une limite de 200 mbps sur son site mais ils brident en fait à 300 mbps.

Le ping de 2 ms est tout aussi bluffant, sans parler de l’upload qui est lui aussi 100 fois plus rapide.

Une chose importante à savoir est que la fibre est partagée à un certain moment dans le réseau, cela veut dire que plus il y aura de monde sur la fibre, moins les débits seront impressionnants. Pour le moment, seule une poignée de personnes ont la fibre, cela explique ces débits proches des débits théoriques. Donc si j’ai un conseil à vous donner, surtout rester sur l’ADSL le plus longtemps possible 😉

On passe donc d’une connexion plus lente que 69% des français (grade D) à une connexion plus rapide que 97% des français (grade A+), on peut difficilement faire mieux !

Je n’ai qu’une chose à dire, merci la CAPS!

Si vous avez des questions, je tenterai d’y répondre en commentaire.

Info Citoyen

Les articles les plus lus du mois de décembre 2013 sur monSaclay.fr

Déc 31, 2013

Voici les 10 articles les plus lus sur monSaclay.fr au cours du mois dernier (les articles, eux, ne datent pas forcément du mois de décembre).

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  10. Parents d’élèves de Saclay : la FCPE lance son blog 3 commentaires | 303 vues
Info Citoyen, Plateau de Saclay

Sondage sur la qualité de vie et la sécurité à Saclay

Déc 30, 2013

Il ne se passe pas une semaine sans que le réseau Voisin Vigilant ne m’informe d’un cambriolage où d’un repérage. Cette semaine j’ai reçu plusieurs emails et coups de fils me faisant par de vols en série pendant la nuit de Noël.

Pourtant, il y a un an lors d’un sondage sur monsaclay.fr nous étions 63% à nous sentir tout autant en sécurité à Saclay aujourd’hui, qu’auparavant. Une immense majorité, 90%, était même prêt à recommander à ses amis de venir s’installer à Saclay.

Alors sommes-nous victime de surinformation ? Sommes-nous devenus parano ? Ou pensons-nous vraiment que les choses ont changé ?

Fait-il toujours bon vivre à Saclay ?

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Info Citoyen

saisine du premier ministre pour l’abrogation du decret sur les rythmes scolaires

Déc 20, 2013

Christian Schoettl

Vendredi 20 décembre 2013

Saisine du premier ministre pour l’abrogation du decret sur les rythmes scolaires.

Voici le texte intégral du courrier adressé ce jour au premier ministre.

Monsieur le premier ministre,

Nous vivons dans une démocratie formidable qui permet à un maire d’une commune de 630 habitants de s’adresser au premier ministre de la France avec la conviction d’être lu et peut être entendu.

Monsieur le premier ministre, je m’autoproclame prétentieusement le porte parole de milliers de maires ruraux comme moi, qui m’écrivent , me téléphonent à propos de cette reforme sur les rythmes scolaires qui heurte leur bon sens, et qui défie la raison.

Ce sont des tout petits maires sans ambitions cantonales, régionales, parlementaires, ils sont le rouage serein et apaisé d’une démocratie locale du quotidien.

Jamais ,ils n’auraient imaginé pour la plupart émettre une délibération ou une motion pour s’opposer a un décret ,au préfet ou a l’inspecteur d’académie ce n’est pas dans leurs gênes, ce n’est pas dans leur fonctionnement, vous êtes préoccupé de l’état de la France ,ils sont attentifs a l’état de leur voierie communale ou de leur école primaire, ils sont les hussards de notre démocratie, ils sont confrontés a la réalité opérationnel jour après jour, c’est celle là qui les guide dans cette démarche.

C’est cette révolte que je vous demande d’entendre, et de mesurer, elle n’est pas politique ou politicienne, ce n’est pas un conflit d’une opposition anti gouvernementale, c’est plus important que cela et cela dépasse tous les clivages.

Nous avons été traités par le ministre de l’éducation nationale d’insurrectionnels, de délinquants civiques, au lieu de comprendre que le bon sens du terrain exprimait le caractère irréaliste, dangereux et inapplicable de la mesure dans le cadre de l’égalité républicaine de l’enseignement.

Il n’y a pas pire erreur que de ne pas reconnaître une erreur, par la présente ,je vous demande quasiment humblement de bien vouloir abroger ce décret qui heurte les élus ,les enseignants et les parents d’élèves ,mais dont je vais me permettre de vous soumettre la fragilité juridique.

Je ne connais aucun de ces élus qui n’affirme pas la réelle nécessité d’une reforme des rythmes scolaires car celle-ci constituerait une réelle ambition et un réel devoir pour notre pays mais qui ne voient, dans ce décret, pas la moindre ambition pour l’école de république qui fait battre le cœur de nos villages.

C’est pourquoi au nom de tous ceux là ,je vous assure de notre totale disponibilité pour nous atteler a une feuille blanche et d’écrire ensembles une vraie reforme des rythmes scolaires pour le bien être de nos enfants et pour construire l’avenir de notre nation.

Voici monsieur le premier ministre quelques éléments qui témoignent que ce décret est illégal et que nous pourrions avoir des espoirs légitimes que notre démarche prospère au conseil d’état , je formule le formidable espoir que la raison prévaudra, que le courage conduira a briser les blocages qui ne sont pas rationnels mais passionnels.

Voici l’analyse juridique que nous en faisons:

Le décret du 24 janvier 2013 est tout d’abord illégal pour violation de l’article 72-2 de la Constitution, qui pose le principe de libre administration des collectivités territoriales. Il est en effet manifeste que ce texte ne donne pas aux communes les moyens nécessaires pour assurer normalement les nouvelles missions qu’il leur confie.

Sur le fondement de l’article 102 de la loi du 2 mars 1982 et des articles 5 et 94 de la loi du 7 janvier 1983, le Conseil d’Etat avait déjà jugé que les transferts aux collectivités locales des compétences jusqu’alors exercées par l’Etat doivent être accompagnés du transfert correspondant par l’Etat à ces collectivités des ressources nécessaires à l’exercice normal de ces compétences, de sorte que ces ressources assurent une compensation intégrale, à la date du transfert, des charges résultant pour les collectivités locales des compétences nouvelles qui leur sont attribuées (C.E. 6 juin 1986, département du Finistère, p. 160).

Le Conseil d’Etat avait en particulier jugé que la compensation doit inclure les dépenses obligatoires de toute nature destinées à mettre à la disposition des élèves les moyens nécessaires à leur éducation (C.E. 10 janvier 1994, Association nationale des élus régionaux et autres, p. 12).

Cette règle d’équivalence entre les compétences confiées aux collectivités territoriales et la compensation financière qui doit en résulter est désormais consacrée par l’article 72-2 de la Constitution, aux termes duquel « tout transfert de compétences de l’Etat aux collectivités territoriales s’accompagne de l’attribution de ressources équivalentes à celles qui étaient consacrées à leur exercice. Toute création ou extension de compétences ayant pour conséquence d’augmenter les dépenses des collectivités territoriales est accompagnée de ressources déterminées par la loi ».

Le Conseil constitutionnel en a déduit qu’il appartient à « l’Etat de maintenir un niveau de ressources équivalent à celui qu’il consacrait à l’exercice des compétences avant leur transfert » (décision n° 2004-511 DC du 29 décembre 2004).

Ainsi, il ressort des textes et de leur application
par le Conseil constitutionnel et le Conseil d’Etat que la compensation doit être intégrale, qu’elle s’apprécie exclusivement au moment où la compétence est dévolue à la collectivité locale et qu’elle comprend toutes les charges indispensables à l’exercice de la compétence transférée.

Au cas présent, le décret du 24 janvier 2013 a prévu une augmentation du nombre de demi-journées sur lesquelles sont réparties les 24 heures d’enseignement que comporte la semaine scolaire, ce qui aura pour effet de contraindre les communes à proposer aux enfants davantage d’activités périscolaires, dès lors que le temps de présence des enfants à l’école ne sera plus intégralement consacré à l’activité d’enseignement.

Par application des règles précitées, il appartenait à l’Etat de prévoir la compensation des charges supplémentaires ainsi imputées aux communes en leur attribuant les ressources leur permettant de les assumer.

Le décret, qui s’en est abstenu, est illégal.

Mais il y a plus.

Ainsi qu’il a été indiqué ci-dessus, l’obligation dans laquelle les communes vont se trouver de mettre en place de nouvelles activités périscolaires liées à la modification des rythmes scolaires va les conduire à supporter des charges financières importantes.

Cette obligation va également les contraindre à recruter, former et gérer de nouveaux agents afin d’assurer convenablement la mission nouvelle que le décret a mis à leur charge.

Il est par ailleurs prévisible que le recrutement de nouveaux personnels va créer un dysfonctionnement important des services communaux dont la structure, souvent réduite, ne permet pas d’assurer convenablement la gestion de nouveaux personnels.

Or, le Conseil d’Etat a décidé, dans un arrêt commune de Villeurbanne du 6 mai 1996 (req. 165.286) que les mesures provoquant un bouleversement dans l’exécution des budgets des collectivités locales violent le principe de libre administration inscrit à l’article 72 de la Constitution.

Tel est bien le cas du décret du 24 janvier 2013, dont l’application va perturber gravement le fonctionnement continu et régulier du service public de l’éducation et engendrer des dysfonctionnements coûteux pour les communes, et en particulier pour la commune exposante.

Ce décret est ainsi entaché d’illégalité.

L’illégalité du décret du 24 janvier 2013 devra encore être constatée pour violation du principe constitutionnel de clarté et des objectifs de valeur constitutionnelle d’accessibilité et d’intelligibilité de la norme.

En effet, le décret passe totalement sous silence l’obligation que son application va mettre à la charge des communes, consistant à assumer des activités périscolaires bien plus importantes que celles qu’elles avaient pu organiser avant son entrée en vigueur.

Le décret prévoit ainsi un transfert de compétences en direction des communes, sans même évoquer un tel transfert.

Il méconnaît ainsi le principe et les objectifs de clarté, d’accessibilité et d’intelligibilité de la norme, en s’abstenant de préciser la teneur des obligations dont il prévoit le transfert aux communes.

Monsieur le premier ministre, je vous remercie de l’attention portée et du fait que vous mesuriez cette démarche comme une belle illustration d’une démocratie vivante, comme tous mes collègues je me tiens à votre disposition et vous prie de croire en l’expression de ma plus haute considération.

christian schoettl

maire de janvry

http://www.christianschoettl.com/article-saissine-du-premier-ministre-pour-l-abrogation-du-decret-sur-les-rythmes-scolaires-121689767.html

Le maire de Paris reconnait enfin que la réforme des rythmes scolaires est un échec :
« J’ai entendu, j’ai lu. Les grèves ont été suivies (…) Il est exact de dire qu’il y a de la souffrance et de l’insatisfaction (…). Cette souffrance est exacerbée par la réforme.
http://75.fo-snudi.fr/spip.php?article590

Le collectif sur le rythme scolaire a une adresse mail :
[email protected]

http://www.monsaclay.fr/2013/12/08/des-parents-deleves-creent-un-collectif-sur-la-reforme-scolaire/

Association, Ecoles, Enfance, Info Citoyen

Saclay : La FCPE vous informe sur la réforme des rythmes scolaires

Déc 19, 2013

La FCPE vous informe :

Pour faire suite aux différents communiques qui ont ete distribues les semaines précédentes, la FCPE voudrait vous permettre d’avoir un maximum d’éléments pour vous tenir informe des avancées concernant la reforme des rythmes scolaires.

Jusqu’à present, il y a eu trois commissions sur les rythmes scolaires. Etaient presents le maire et les representants des differentes parties c’est a dire les 4 directrices d’ecole et les representants des parents d’éleves. Vous trouverez les comptes rendus

Ci-dessous, plusieurs modeles d’emplois du temps ont ete proposes par l’education nationale. 1 tableau a ete retenu (ci dessous) et valide par toutes les instances presentes lors des reunions. Voici quelques explications pour interpretation du tableau retenu :

Le deroulement des cours s’effectuera

sans changement de 8h30-11h30 / 13h30-15h45.  Sortie possible a 15h45

Gouter de 15h45 a 16h15, et repartition des enfants dans les differents groupes entre 16h15 et 16h30, cet accueil sera gratuit.

A partir de 16h30,, 3 GROUPES possibles :

G1 : → TAP de 16h30 a 17h30 avec sortie possible a 17h30 OU ensuite garderie avec recuperation, possible a n’importe quel moment jusqu’a 18h30.

 

GROUPE 1 Enfants ne fréquentant pas l’étude mais les TAP

GROUPE 1 Enfants ne fréquentant pas l’étude mais les TAP

début d’accueil Périscolaire Début école Début pause   sortie Possible Fin de pause   Entrée Fin de classe   Sortie Possible Goûter TAP Sortie   Possible Pérsicolaire   Sortie Aléatoire Fin de l’accueil
Lundi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30 15:45 15:45 à 16:15 17:30 17:30 à 18:30 18:30
Mardi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30 15:45 15:45 à 16:15 17:30 17:30 à 18:30 18:30
Mercredi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30
Jeudi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30 15:45 15:45 à 16:15 17:30 17:30 à 18:30 18:30
Vendredi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30 15:45 15:45 à 16:15 17:30 17:30 à 18:30 18:30

G2 : → ETUDE de 16h30 a 17h30 avec sortie possible a 17h30, OU ensuite garderie avec,écuperation possible a n’importe quel moment jusqu’a 18h30 OU TAP jusqu’a 18h30.

 Groupe 2 :  Enfants inscrites à l’étude

début d’accueil Périscolaire Début école Début pause Fin de pause Fin de la   classe Goûter Etude TAP Fin de l’accueil
Lundi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30 15:45 15:45 à 16:15 17:30 17:30 à 18:30 18:30
Mardi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30 15:45 15:45 à 16:15 17:30 17:30 à 18:30 18:30
Mercredi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30
Jeudi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30 15:45 15:45 à 16:15 17:30 17:30 à 18:30 18:30
Vendredi 07:30 7:30 à 8:30 08:30 11:30 13:30 15:45 15:45 à 16:15 17:30 17:30 à 18:30 18:30

G3 : → Garderie de 16h30 a 18h30 avec recuperation a n’importe quel moment

Deux TAP seront proposes pendant chaque periode definit par les vacances scolaires. Ceci permettant aux enfants de toucher a un maximum d’activite. En ce qui concerne les tarifs ceux-ci seront lisses tout au Long de l’annee sur les factures du periscolaire.

Il reste bien sur des points encore a definir. Comme les possibilites de TAP, les commissions ont retenu les idees de sport doux, d’informatique, de theatre. Ces propositions restent a valider ne se ressent que sur le point de trouver les intervenants.

La question de la cantine egalement a ete soulevee pour le mercredi.

Les commissions preconisent un nombre limite d’enfant par TAP qui serait 18 pour l’elementaire et 14 pour la maternelle.

Il reste encore beaucoup de chose a definir et a mettre en place afin que cette reforme des rythmes scolaires soit une reussite pour nos enfants.

Nous ne manquerons pas de vous tenir informer des prochaines evolutions.

En attendant, passez de BONNES FETES…

 

Pièce jointe réunion commussion d’avril 2013

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 11 AVRIL 2013

SUR LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES

 

 

Présents :M. PAGE (maire) – Mme SZYMKOWIAK (Conseillère municipale) – M. FOURGEAUD (Conseiller municipal) – Mme BERNARD (Direction Elémentaire J. Curie) – Mme COUVREUR (Directrice Maternelle J. de la Fontaine) – Mme GAGNIERE (Directrice Maternelle P. Kergomard) – Mme RIGAUD (Directrice Elémentaire T. Gobert) – Mme GASPARD GERBAUD (AILEVS) – M. BLIN (FCPE) – Mme SAMAIN (FCPE) – Mme SIMON (Responsable service Enfance Jeunesse) – Mme LEBRAS (Coordinatrice restaurants scolaires) – Mme PIVEUX (DGS)

**************************************

 M. le Maire présente le résultat du sondage qui a été fait auprès des parents. (Ci-annexé).

Ce sondage fait apparaître une majorité de parents favorables au maintien de la durée actuelle de la pause méridienne, soit 2h00, de 11h30 à 13h30. L’examen du sondage pose la question de l’ouverture de la cantine au Bourg le mercredi midi.

Aujourd’hui 110 enfants d’âge élémentaire et 60 enfants de maternel mange à la cantine. Les résultats du sondage font apparaître que 72 enfants y mangeraient le mercredi midi (29 en maternel et 43 en elémentaire).

L’ouverture de cette structure doit sans doute se décider en fonction d’une comparaison entre le coût de cette ouverture et le coût du transport des enfants jusqu’à la cantine du Val d’Albian, qui est déjà ouverte aujourd’hui pour le fonctionnement de l’ALSH. La question de la possibilité pour les parents de venir chercher leurs enfants après la cantine le mercredi est posée. La réponse qui se dégage semble être favorable pour éviter notamment l’alourdir les effectifs dans l’ALSH le mercredi après-midi et pour éviter aux associations de perdre leurs usagers le mercredi après-midi. D’autres questions peuvent se poser pour l’accueil des enfants du Bourg en ALSH le mercredi après-midi :

–          Les locaux de l’école du bourg sont-ils adaptés ?

–          Les locaux du Val peuvent-ils être adaptés pour un accueil d’un plus grand nombre d’enfants ?

–          En fonction du coût du transport vaut-il mieux déplacer les enfants du bourg au val d’Albian ou ouvrir une structure d’accueil au Bourg ?

S’agissant des horaires dans la journée, un consensus semble se dégager pour que la journée d’école se termine à 15h45. Ce pose alors la question de l’étude. Doit-elle se faire juste après la journée d’école ou plus tard dans la soirée.

Mme Bernard fait remarquer que l’esprit de la réforme veut que les Temps d’Accueil Périscolaire, à la charge de la ville, puissent profiter à tous les enfants. Selon ce raisonnement, il faudrait que le créneau 15h45 – 16h30 leurs soit consacré.

L’étude peut ne durer que 45 minutes.

Il est envisagé de faire deux groupes : l’un qui ferait des activités périscolaires ; l’autre qui serait à l’étude et d’inverser. La priorité serait donnée aux activités pour les enfants qui ne fréquentent pas l’étude.

HEURES

GROUPE 1

GROUPE 2

15h45 – 16h30 Activité TAP Etude
16h30 – 17h00 Goûter Goûter
17h00 – 17h45 Etudes Activité TAP
17H45 – 18H30 APS APS

 

Cela ne laisse que 45 minutes aux TAP ce qui paraît peu pour organiser une activité. D’autant plus, qu’il faut compter un battement d’une dizaine de minutes pour permettre aux élèves de quitter les classes et de rejoindre les différents groupes d’activités proposées.

On peut imaginer un emploi du temps en laissant des temps de battement permettant la circulation des enfants entre les différents temps d’activité, tel que :

HEURES

GROUPE 1

GROUPE 2

16h00 – 16h45 Activité TAP Etude
16h45 – 17h15 Goûter Goûter
17h15 – 18h00 Etudes Activité TAP
18h00 – 18h30 APS APS

M. le Maire rappelle, sur interpellation de Mme Samain, que cette nouvelle organisation engendrera certainement un coût supplémentaire pour les parents en fonction notamment des activités qui pourront être proposées.

A l’issue de la discussion, il est proposé de constituer deux groupes de travail :

– l’autre qui réfléchira aux activités pouvant être proposées (durée, intervenant, coût, lieu, nombre d’enfants concernés,…) groupe A

– l’un qui réfléchira à la meilleure solution en terme d’emploi du temps ; groupe B 

Il est également proposé de se réunir de nouveau en groupe à thème le 21/05 (groupe A) et le 06/06 (groupe B).

La réunion se termine à 21h45.

Pièce Jointe : réunion de novembre 2013

COMPTE RENDU DE LA REUNION DU 04 NOVEMBRE 2013

SUR LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRES

 

 

Présents :M. PAGE (maire) – Mme LANGLOIS (Adjointe déléguée aux affaires scolaires) – Mme SZYMKOWIAK (Conseillère municipale) – M. FOURGEAUD (Conseiller municipal) – Mme BERNARD (Direction Elémentaire J. Curie) – Mme FOURNET (Enseignante Maternelle J. de la Fontaine) – Mme GAGNIERE (Directrice Maternelle P. Kergomard) – Mme RIGAUD (Directrice Elémentaire T. Gobert) – Mme GASPARD GERBAUD (AILEVS) – M. BLIN (FCPE) – Mme SAMAIN (FCPE) – Mme SIMON (Responsable service Enfance Jeunesse) – Mme LEBRAS (Coordinatrice restaurants scolaires) – Mme PIVEUX (DGS)

 

 

**************************************

 

Monsieur le maire présente le tableau préparé par les services municipaux détaillant l’emploi du temps (cf. ci-joint).

 

La sortie de l’école est prévue :

–          à partir de 15h45,

–          puis après le goûter à 16h30, conformément aux directives données par la réforme.

Les enfants ne peuvent pas sortir de l’école entre ces deux horaires.

 

La ville propose de faire trois catégories distinctes d’élèves :

–          ceux qui seront inscrits à l’étude

–          ceux qui ne le sont pas

Les premiers fréquenteront les TAP puis seront libérés.

Les seconds fréquenteront l’étude avant d’aller en TAP.

–          les élèves qui ne souhaitent pas s’inscrire aux TAP et qui veulent pouvoir quitter l’école librement à partir de 16h30 se verront proposés un accueil périscolaire de type « garderie ». Monsieur le maire pose le principe de gratuité de l’accueil pour les élémentaires de 15h45 à 16h30. En ce qui concerne les maternelles, considérant que le goûter est distribué par la ville il sera facturé aux familles comme c’est déjà le cas aujourd’hui. Les solutions d’emploi du temps proposées sont validées par l’ensemble des participants et seront communiquées à l’inspection académique avant la fin de l’année. Le travail restant à faire concerne l’organisation des activités proposées en TAP. Les participants à la réunion s’entendent pour dire que ces activités doivent être :

–          culturelles (projet cinéma, initiation photo ; éducation à l’image)

–          de détente (relaxation ou activités sportives douces)

Les activités sportives seront pratiquées aux beaux jours, dehors. Il est décidé d’étudier des possibilités de mutualisation des intervenants avec les petites communes voisines. En maternelle, une seule activité de 30 minutes sera proposée aux enfants puis ils se verront proposer jeux libres. Pour les enfants de 4/5 ans, 45 minutes d’activité pourront être proposées. Le principe de la présentation des équipes d’animateurs et intervenants TAP aux équipes enseignantes à la rentrée scolaire 2014 est posé.

La réunion se termine à 21h30

 

 

 

Haut Débit, Val d'Albian

Déploiement commercial de la fibre sur Saclay Val d’Albian

Déc 18, 2013

Ça y est, certains Saclaysiens ont vu leur habitation éligible à la Fibre Orange.

Depuis le 13 décembre pour la rue Emile Zola.

Dans mon cas, rue Alphonse Daudet, c’est disponible depuis ce matin (mercredi 18 décembre).

Si vous voulez faire le test d’éligibilité, je vous conseille le site suivant qui donne de bien meilleurs résultats que le site Orange:

http://www.fibre-optique-france.com/resultats-eligibilite/

Vous pouvez trouver les différents tarifs des offres Fibre sur le site d’Orange:

Pour les habitations individuelles, il faut compter des frais d’accès au réseau via le raccordement aérien : 299 Euros TTC ; frais via un raccordement souterrain : 149 Euros TTC.

Mon rendez-vous avec le technicien est pris pour le 2 janvier 2014, je ne manquerai pas de vous faire un compte rendu sur le déroulement de l’installation et les nouveaux débits.

N’hésitez pas à mettre en commentaire si votre rue est éligible.

Environnement, Paris-Saclay, Transport, Université

Enquête sur la mobilité sur le campus Paris-Saclay

Déc 18, 2013

Les étudiants en deuxième année de l’école Polytechnique, mènent une étude sur la mobilité au sein du campus Paris-Saclay.

Il s’agit d’étudier la viabilité d’un système de mobilité partagée (type autolib, velib, site de covoiturage …) sur le campus de l’université Paris-Saclay qui va voir le jour en 2014.

Paris-Saclay s’inscrit dans le projet du grand Paris qui vise à mettre en relation les différents acteurs implantés dans cette zone géographique : entreprises, centres de recherche, établissements de l’enseignement supérieur.
Participez à cette étude en remplissant un très court questionnaire. Cela aidera les étudiant dans l’avancée de leur projet.
Lien menant au questionnaire

Ce projet est mené en collaboration avec Romain Beaume, Directeur de l’Institut de la Mobilité Durable à l’école Polytechnique, et le CRG (centre de recherche en gestion) de l’ENSTA.

Environnement, Paris-Saclay, Plateau de Saclay

Paris-Saclay communique sur la protection de la biodiversité

Déc 18, 2013

 Alors que l’urbanisation du Plateau de Saclay fait débat l’Etablissement public Paris-Saclay (EPPS) choisi de communiquer sur la protection de la biodiversité.

Voici le communiqué de presse daté du 17/12/13 :

La Zone d’aménagement concerté du quartier de l’Ecole polytechnique, sur la commune de Palaiseau, prévoit la réalisation d’équipements sur des sites de reproduction de plusieurs espèces d’amphibiens protégées. Pour perpétuer leur présence sur le plateau de Saclay, l’Etablissement public Paris-Saclay (EPPS) a reconstitué sur le territoire leur milieu naturel. Cette mesure de protection qui concerne plus particulièrement le Triton crêté, le Triton ponctué et le Crapaud accoucheur sera effectuée avant le début des travaux, à l’été 2014.

 L’EPPS, aménageur du quartier, a donc lancé la réalisation anticipée de trois mares destinées à les recevoir. La maîtrise d’œuvre de conception et d’exécution est assurée par Ingérop Conseil & Ingénierie, Confluences Ing. Conseil, Sol & Paysage.

Pour maximiser l’efficacité des captures, les amphibiens seront prélevés et déplacés au printemps 2014, lorsqu’ils se réunissent pour se reproduire. Les mares, qui recevront ces animaux, doivent être en mesure de les accueillir dès le printemps 2014. C’est la raison pour laquelle elles sont creusées dès maintenant, laissant ainsi le temps à la végétation de reprendre et aux plans d’eau de s’équilibrer.

A plus long terme, ces mares feront parties d’un réseau de zones humides favorables à la propagation des amphibiens. Plusieurs autres mares seront en effet réalisées dans les phases ultérieures du projet, et les différents bassins de régulations seront aménagés de manière à les accueillir favorablement. Les mares réalisées participeront donc à terme à la mise en place de la trame verte et bleue. bio-diversite_saclay

Un projet respectueux des procédures réglementaires environnementales préalables

Compte tenu de son importance et de sa localisation, le projet de ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique fait l’objet de plusieurs procédures réglementaires environnementales préalables, et notamment de l’arrêté préfectoral 2012/DRIEE/132 du 21 décembre 2012 qui impose au maître d’ouvrage de minimiser les incidences du projet sur son environnement naturel.

Un exemple récent de l’attention portée à la faune et à la flore reste la transplantation de l’Etoile d’eau (Damasonium alisma) et sa floraison, au début de l’été 2013, sur les mouillères nouvellement créées à Palaiseau, dans le quartier de l’Ecole Polytechnique et sur le plateau de  Saclay. Une première mondiale.

Environnement, Info Citoyen, Plateau de Saclay

Exercice nucléaire et protestation au CEA

Déc 16, 2013

Alors qu’un exercice nucléaire de sécurité civile, sous pilotage de la préfecture de l’Essonne aura lieu le mardi 17 décembre autour du site CIS BIO International de Saclay la protestation gronde au CEA. (Plus d’information sur l’exercice nucléaire de sécurité civile du 17 décembre en fin d’article).

Nombreux sont les chercheurs qui protestent contre la fermeture des réacteurs de recherche OSIRIS et ORPHEE-LLB.

La CGT affirme que

« la fermeture d’OSIRIS entraînerait un risque de pénurie en radio-éléments pour la médecine et la fermeture d’ORPHEE-LLB signerait le déclin rapide de l’activité française de l’utilisation de la diffusion des neutrons pour la recherche fondamentale et appliquée ».

Dans une lettre daté du 5 octobre 2013, et adressée au président du Conseil Scientifique du CNRS et aux présidents de section du Comité National et des CSI des chercheurs et ingénieurs du CNRS au LLB-Orphée ainsi que d’autres du CEA au LLB-Orphée écrivent que :

« Des décennies d’expérience et de savoir-faire de neutroniciens français seront dilapidées en quelques années si les tutelles, et en particulier le CNRS, ne manifestent pas dès maintenant leur soutien au maintien de LLB-Orphée au-delà de 2020. La moitié de la communauté nationale des neutroniciens est susceptible de disparaître faute d’accès aux faisceaux de neutrons !

A qui bénéficierait alors ESS? Nous considérons que la France, au même titre que l’Allemagne et le Royaume-Uni, doit posséder une source nationale de neutrons, ouverte à toute la communauté des chercheurs, permettant d’accueillir, de former et d’initier les jeunes chercheurs, tout en revendiquant une activité propre de qualité tant du point de vue de la conception des instruments que des activités de recherche. Ni ESS ni l’ILL ne pourront remplacer le rôle structurant et formateur que le LLB remplit depuis 30 ans.

La conséquence inéluctable de la perte d’un tel outil signerait à brève échéance, la fin d’une culture scientifique collective initiée par Louis Néel et Félix Bertaut il y a plus d’un demi-siècle. Nous appelons le Comité National, les instances scientifiques du CNRS et la direction du CNRS à soutenir cette position et à prendre les initiatives nécessaires afin de préserver l’avenir de la diffusion des neutrons en France. »

Télécharger la lettre en PDF

EXERCICE NUCLÉAIRE CIS-BIO (PPI Saclay)

Le but principal de l’exercice est de tester le fonctionnement global de l’ensemble de la chaîne de décision des pouvoirs publics et de l’exploitant, prévu en cas de crise à caractère radiologique.

Les objectifs généraux qui en découlent sont de tester le dispositif d’alerte et de protection des populations dans le cadre du PPI (plan particulier d’intervention approuvé par le Préfet) et les PUI (plan d’urgence interne) respectifs de CISBIO et le CEA.

Un plan particulier de mise en sûreté sera organisé dans une des écoles de Saclay, les PC Mesures sera installé sur le site de Polytechnique et la mairie de Villiers le Bâcle accueillera un poste de sécurité.

Les habitants des communes de Gif sur Yvette, Saclay, Saint-Aubin et Villiers le Bâcle sont invités à jouer l’exercice fictivement en étant attentif au signal d’alerte et à se remémorer les bons réflexes, ainsi que les consignes de sécurité indiqués sur la plaquette PPI. (Télécharger la plaquette du Plan Particulier d’Intervention)

L’exercice se déroulera de 9:00 à 14:30

Environnement, Grand Paris, Paris-Saclay, Plateau de Saclay

Intérogation sur le Grand Paris et la disparition des terres agricoles de Saclay

Déc 16, 2013

Source : Slate.fr par Antoine Hasday (16/12/2013)

L’Ile-de-France pèse déjà de façon démesurée dans l’économie française. Concentrer encore plus d’entreprises et de populations au détriment des terres agricoles est-il vraiment pertinent?

Le Plateau de Saclay, ce sont des terres agricoles parmi les plus fertiles d’Ile-de-France. Mais la puissance publique, qui rêve d’en faire une Silicon Valley française, l’a déjà amputé de 1.000 hectares, et s’apprête à en bétonner 470 dans le cadre d’un des projets phares du Grand Paris, le campus Paris-Saclay. Au milieu des champs, des grues et des bulldozers s’activent. L’installation d’un métro automatique («ligne verte» ou ligne 18) est également prévue.

Le Grand Paris n’est pas un plan d’amélioration des transports en Ile-de-France. C’est un projet élaboré par Christian Blanc, pour qui le salut de l’Ile-de-France passe par la création de «clusters» (aussi appelés «campus» ou «pôles») associant entreprises, établissements d’enseignement supérieur et chercheurs.
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Pour être attractifs, ils se doivent d’être reliés entre eux par des lignes dédiées de transport en commun (le fameux métro automatique). Selon Harm Smit, coordinateur de COLOS (Collectif Oin Saclay):

 «Pour Christian Blanc, la création de ces clusters doit faire jaillir les start-up par centaines. Pour moi, ce projet, c’est avant tout du marketing.»

Si des débats ont bien eu lieu sur le tracé des lignes et l’ampleur du projet, la logique originelle n’a pas été discutée. Il s’agit d’urbaniser davantage l’Ile-de-France à travers la constitution de grands pôles économiques (comprenant «clusters», logements et zones commerciales) et de relier ceux-ci entre eux par des lignes de transport dédiées (le Grand Paris Express). Avec pour objectif central de rendre la région parisienne plus attractive, afin d’attirer les entreprises et les travailleurs qualifiés du monde entier.

Le noyau du projet, ce sont donc les pôles économiques: plateau de Saclay (pôle haute technologie), Villejuif (Campus Cancer), La Défense (extension de 450.000m2 de bureaux), aéroports de Roissy, Orly et du Bourget (agrandissement et développement), Achères (création d’un port d’envergure internationale)… Des projets portés par le secteur privé sont également associés au Grand Paris, tels que le centre commercial Europa City à Gonesse, porté par Auchan, qui sera desservi par une gare du Grand Paris Express, ou les Villages Nature en Seine-et-Marne (The Walt Disney Company).
Les terres agricoles sacrifiées… dans quel but?

«Le problème, c’est que dans tous ces projets, on reste dans une vision de l’urbanisme issue des années 1970, où les terres agricoles sont vues comme au service de l’urbanisation»,

explique Claudine Parayre, membre de la COSTIF (Coordination pour la Solidarité des Territoires d’Île-de-France) qui fédère des opposants aux différents projets d’aménagement du Grand Paris.

«En ce qui concerne le Plateau de Saclay, il a perdu 980 hectares depuis les années 1980. Le projet prévoit d’en urbaniser 480. 2.600 hectares sont théoriquement protégés, mais pour combien de temps? On sait que les lois se font et se défont. Le SDRIF [Schéma directeur de la région Ile-de-France, NDLR] prévoit que dans les 20 prochaines années, la région Île-de-France va consommer 1.850 hectares de terres agricoles par an. On est passé à l’équivalent d’un département consommé tous les 7 ans, alors qu’auparavant c’était tous les dix ans.»

Lire la suite de l’article d’Antoine Hasday sur Slate.fr

Association, Plateau de Saclay

Video – Saclay : Peut-on sauver l’association « La Ferme de Petitjean » ?

Déc 15, 2013

Jean-Denys et sa femme se démènent seul ou presque pour aider les plus démunis. Il vient de perdre son emploi et sa femme a dû démissionner. Ils ont décidés de quitter Saclay.

« J’en ai pleuré », me confit-il samedi 14 décembre lorsque je l’ai rencontré chez lui. « Saclay est une ville plutôt aisée pourtant il y a ici des gens dans le besoin ».

L’appel de Jean-Denys

Après trois ans d’activité sur Saclay et sa région, notre association  » la Ferme de Petitjean » va devoir cesser ses activités!

Ma femme et moi devons quitter l’île de France pour cause d’arrêt de contrat professionnel pour moi.

Nous aurions espérer pouvoir continuer d’aider la centaine de familles à qui nous distribuions de la nourriture, des vêtements et du mobilier.

L’aide à la recherche de travail , à des démarches administratives fait partie aussi de nos activités.

Nous permettions à des centres pour enfants handicapés ou adultes à pouvoir se rendre à des manifestations comme le Salon de l’Agriculture ou la Foire d’Automne.

Notre souhait serait que les habitants de Saclay puissent réaliser qu’il y a des personnes dans le besoin.

La raison de la création de Notre association il y a environ dix ans a été de pouvoir aider toute personne, quelle que soit son origine ou son niveau social.

Ceci car la vie réserve bien des surprises et personne n’est à l’abri de déconvenues financières ou sociales.

Nous nous sommes efforcé d’aider sans critères de sélection!

Nous voulons que de bonnes volontés puissent prendre le relais en continuant ce que nous avons commencé.

Notre but est de donner une impulsion au plus grand nombre afin que chacun regarde autour de lui afin de s’inquiéter de qui pouvait avoir faim , froid ou besoin d’aide. La solution n’est pas de donner obligatoirement de l’argent mais de penser à donner ce qui ne sert plus ou d’acheter et de donner à celui ou celle qui en a besoin.

Pour tout renseignement ou envie de nous rejoindre contactez-nous.

L’Association ne cessera pas d’exister car nous allons habiter dans la ferme que nous rénovons pour accueillir des enfants en difficulté.

L’idéal serait de pouvoir avoir une antenne à Saclay pour palier au problème et perpétuer ce que nous faisions.

Pour vous rendre compte d’une partie de ce que l’on fait , il est possible de consulter notre site internet: http://www.la-ferme-de-petitjean.com/.

Merci

M. Jean-Denys Laffitte

Président de l’Association La Ferme de petitjean

Info Citoyen, Plateau de Saclay

Manifestation de Samedi 7 décembre pour la sauvegarde du plateau

Déc 15, 2013

Suite de l’ appel à manifester Samedi 7 décembre pour la sauvegarde du plateau de Saclay, attaché, l’article du Parisien, le lundi suivant…

Les riverains ne veulent pas de l’urbanisation du plateau

« Nous ne sommes pas là pour préserver notre bien-être ou par soucis de conserver un beau quartier. » D’emblée, les habitants de Palaiseau et des environs replacent le débat et veulent se montrer crédibles.
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Paris-Saclay, Plateau de Saclay, Université

Pierre Veltz : l’avenir du Grand Paris

Déc 10, 2013
 Source : L’Express.fr Par Michel Feltin-Palas, publié le Président directeur général de Paris Saclay, Pierre Veltz est l’un des meilleurs observateurs du territoire français. A l’heure où le Parlement se penche sur l’avenir du Grand Paris, ce Mosellan enraciné le rappelle avec force : l’avenir du pays passe par celui de la capitale. Et tant pis si cela ne plaît pas à tout le monde.

"L'Etat s'est toujours méfié de Paris"

« Il existe en France une méfiance générale à l’égard des villes, qui trouve son paroxysme avec Paris, souligne Pierre Veltz. Ce n’est pas un hasard si la capitale n’a un maire que depuis 1977 et si ce maire ne dispose toujours pas des pouvoirs de police. »

Selon vous, les relations de Paris avec la France ont toujours été ambiguës…

Oui. Paris incarne l’Etat mais, en même temps, l’Etat s’est toujours méfié de sa capitale.

Cela paraît curieux…

Pas si l’on se souvient que toutes les révolutions sont parties de Paris : 1789, 1830, 1848… Sous la Seconde République, le suffrage universel a même été instauré dans le but de noyer le vote révolutionnaire des ouvriers parisiens dans la grande masse des électeurs de la France rurale ! Et cela a fonctionné : Louis-Napoléon Bonaparte a été élu et le Parti de l’Ordre a triomphé en 1849. Après la Commune de 1871, la IIIè République fera mieux encore en nouant une alliance avec les agriculteurs contre les villes. De ce point de vue, l’exaltation par Vichy de  » la terre qui ne ment pas  » n’est pas un accident de l’histoire, mais le résumé chimiquement pur de l’anti parisianisme français. Ce n’est pas un hasard si la capitale n’a un maire que depuis 1977 et si ce maire ne dispose toujours pas des pouvoirs de police, que l’Etat préfère garder sous son contrôle.
L’Etat se méfie-t-il seulement de Paris ?

Non. En France, il existe une méfiance générale à l’égard des villes. Sous l’Ancien Régime, déjà, le pouvoir crée ce que l’on a appelé à juste titre des  » villes d’Etat  » pour mieux contrôler les grandes cités commerçantes dont il redoute la puissance. Le Parlement de Bretagne est établi à Rennes, et non à Nantes ; le Parlement de Provence est installé à Aix et non à Marseille, etc. Cette détestation de la grande ville va s’amplifier après la Révolution, et pas seulement pour des raisons politiques. La droite française considère alors qu’elle fait peser un risque moral sur la société, en menaçant la famille et en isolant l’individu. S’y ajoutent des considérations hygiénistes : jusqu’à l’invention des égouts, on pensait sincèrement que la grande ville était ingérable. De fait, la France cultive une  » urbaphobie  » générale, qui trouve évidemment son paroxysme à l’égard de Paris, la ville des villes.

Et qu’en pensent les Français eux-mêmes ?

Eux aussi entretiennent une relation très ambiguë avec la capitale. Pour les Provinciaux, Paris est à la fois une source de fascination et de fierté _ la Ville Lumière _ et une cité que l’on déteste, parce qu’on croit qu’elle vit aux crochets du reste du pays. Il faut dire que, réciproquement, les Parisiens ont longtemps méprisé les Provinciaux .

Pourtant, nombre d’entre eux sont issus des autres régions…

Précisément. Ce sont souvent ceux-là qui faisaient preuve du plus grand dédain à l’égard des Provinciaux car ils voulaient faire oublier d’où ils venaient, montrer qu’ils étaient devenus de  » vrais  » Parisiens. Un peu comme ces Méridionaux  » montés à la capitale  » qui s’efforcent de parler pointu et se moquent de ceux qui ont gardé l’accent.

Est-ce ainsi que s’explique le succès de la formule  » Paris et le désert français  » ?

Oui. Ce titre d’un livre paru en 1947, sous la plume de Jean-François Gravier _ un Vichyste exalté _ va rencontrer un succès considérable, jusqu’à devenir le mythe fondateur de l’aménagement du territoire. L’idée selon laquelle il faut limiter la croissance de l’ogre parisien pour sauver le reste de la Nation est alors largement partagée.

Seulement pour des raisons idéologiques ?

Non. Cette conviction, à l’époque, s’appuie aussi sur des raisons objectives. Pendant l’entre-deux-guerres, le décalage entre Paris et les autres villes françaises s’est creusé. Par ailleurs, le patronat de l’époque souhaite quitter Paris, où se concentrent alors les industries, pour éloigner la menace du Parti Communiste, jugée trop forte dans la banlieue rouge. Cela tombe bien : après-guerre, la révolution agricole libère une main d’oeuvre très nombreuse et Pour les jeunes du monde rural, l’usine est alors synonyme d’ascenseur social, d’indépendance par rapport aux parents, d’accès à la modernité… C’est ainsi, par exemple, que la Normandie va accueillir des usines automobiles le long de la vallée de la Seine. Cette industrialisation rurale est à la base de la croissance des Trente glorieuses. Au fond, les seuls perdants de ce compromis social ont été le monde ouvrier parisien et les communes de banlieue, qui vont devenir aussi pauvres que leurs habitants.

En perdant son industrie, Paris ne perd-elle pas aussi de sa puissance?

Au contraire, car la capitale conserve toutes les fonctions de conception et de commandement, comme la recherche, les sièges sociaux, le marketing, etc.. Paris est plus que jamais la capitale industrielle du pays, sans les usines.

Selon vous, cette logique de  » Paris et le désert français  » ne serait plus opérante…

Non car elle repose sur une erreur fondamentale consistant à voir l’économie comme un jeu à somme nulle : ce qui est gagné par les uns serait perdu par les autres. C’est évidemment faux quand l’économie devient très internationale, comme c’est le cas après 1980 : les entreprises parisiennes ne délocalisent plus en province, mais… à l’étranger ! Par ailleurs, ce raisonnement méconnaît le phénomène de  » métropolisation « , qui va de pair avec la mondialisation.

En clair ?

Dans une économie de la connaissance, les grandes villes disposent d’un avantage considérable car c’est là que se concentrent les universités, les laboratoires de recherche, les centres d’ingénierie les sièges sociaux, les industries culturelles, etc. Dès lors, Paris n’est pas en concurrence avec Marseille ou Nantes, mais avec New-York, Tokyo, Londres ou Shanghai. Quand on a compris cela, on comprend qu’il ne faut surtout pas handicaper notre capitale. Car affaiblir Paris, ce n’est pas renforcer la Province, c’est affaiblir la France !

Vous osez même dire que Paris finance la Province…

Je reprends les conclusions de l’économiste Laurent Davezies, qui a calculé que l’Ile-de-France assure 30 % de la production française, mais capte seulement 20% des revenus . Ce qui signifie que Paris subventionne la Province, de deux manières. Par le biais des dépenses publiques et des transfert sociaux, d’une part. Par les retraites, les RTT, les vacances et la redistribution privée, d’autre part. Je nuancerais toutefois ses propos en ajoutant que Paris prélève les ressources humaines de la Province en attirant une partie de ses meilleurs étudiants.

Admettons que Paris tire le reste du pays. Comment faire en sorte que la richesse créée en Ile-de-France profite bien aux autres régions ?

De fait, la France fonctionne déjà comme une  » métropole en réseau « , une  » métropole distribuée  » où certaines grandes villes régionales connaissent d’ailleurs un dynamisme supérieur à celui de la capitale. ll faut que ce dynamisme métropolitain se diffuse, de proche en proche, dans les villes moyennes, les petites villes et les campagnes. On n’en est pas si loin. L’effet TGV, notamment, amplifie ce que l’on a observé au XIXè siècle avec le chemin de fer. Le réseau en étoile que l’on a constitué alors a certes renforcé Paris, mais il a aussi permis à la Province de bénéficier plus rapidement des innovations techniques et de s’ouvrir de nouveaux marchés.

En est-il de même aujourd’hui ?

Oui. Prenez la région Rhône-Alpes. Lyon et Paris fonctionnent en synergie. L’avenir de Saint-Etienne ou de Roanne est lié à celui de Lyon, et celui du Roannais à la bonne santé de Roanne . Tout est lié. Comme le dit le philosophe Michel Serres,  » la France est une ville dont le TGV est le métro  » . Il est vrai que certains territoires périphériques sont en grande difficulté, mais les espaces ruraux n’iront pas mieux si les villes sont affaiblies !

Si tous les Français ont intérêt à ce que Paris aille bien, que faut-il faire pour aider Paris ?

Il faut commencer par renforcer ses atouts, qui sont considérables. Songez à sa puissance: par son PIB, le Grand Paris serait à lui seul la 18è nation du monde, devant les Pays Bas ou la Suisse ! Paris possède aussi une économie hyper-productive : le PIB par actif y est supérieur de 50 % à la moyenne nationale ! Enfin, et peut-être surtout, Paris dispose d’un potentiel intellectuel formidable, avec environ 80 000 enseignants chercheurs. C’est autant que la Silicon Valley et bien plus que Londres ! Paris est la première ville universitaire du monde. Hélas, personne ne le dit…

Pourquoi?

Sans doute à cause de nos divisions . Tocqueville disait déjà :  » dès qu’il y a trois Français, ils créent trois groupes « . Et bien l’Ile-de-France, c’est le championnat du monde de la fragmentation municipale. Bertrand Delanoë s’oppose au transfert de l’école d’agronomie du centre de Paris à Saclay alors que, vu de Londres ou de Pékin, il s’agit du même site ! Des communes riches, n’appartiennent à aucune intercommunalité parce qu’elles veulent garder l’argent pour elles. On ne peut pas continuer comme cela car le Grand Paris est un tout. Et si c’est un tout, il n’y a pas de raison que le tas d’or sur lequel les Hauts-de-Seine sont assis grâce à La Défense ne profite pas à la Seine-Saint-Denis.

Cette division est-elle le seul handicap de Paris?

Hélas, non. J’en vois au moins quatre autres. Le premier, c’est la coupure avec la banlieue, symbolisé par le boulevard périphérique. A l’intérieur se concentrent les hauts lieux du pouvoir, de la science, de la culture. A l’extérieur, on a longtemps trouvé les industries polluantes, les usines d’incinération des déchets, le cimetière des indigents de Thiais et même la guillotine quand elle était en usage ! Cette coupure physique se double d’une coupure mentale. Comme l’écrit François Maspero,  » il y a plus perdu qu’un Provincial à Paris, c’est un Parisien en banlieue !  » Le résultat, c’est que les six millions de banlieusards sont encore plus ou moins des Parisiens de seconde classe.

Le second problème, ce sont les transports. Nous avons arrêté d’investir et nous avons mis trop longtemps à créer des liaisons de banlieue à banlieue, là où les déplacements explosent. C’est pourquoi le projet du Grand Paris Express est absolument indispensable.

Le troisième, c’est le manque de logements à des prix accessibles. Cette situation a des causes multiples, mais la principale est la suivante : de nombreux maires, qui contrôlent le foncier via le plan local d’urbanisme refusent de construire, sous la pression de leurs électeurs. Les Franciliens sont bien heureux que l’on ait bâti la maison ou l’appartement qu’ils occupent, mais ils ne veulent pas qu’on en crée pour les autres !

Le dernier problème, c’est la gouvernance…

Evidemment. Non seulement l’Ile-de-France connaît le même mille-feuille administratif que toutes les régions françaises, mais elle souffre d’une difficulté supplémentaire : l’absence d’un acteur fédérateur. Il n’y a pas ici l’équivalent du Grand Lyon ou du Grand Nantes, capables de définir une vision d’avenir et de gérer les problèmes à la bonne échelle. Reprenons l’exemple du logement. On compte 1300 communes en Ile-de-France : comment voulez-vous mettre tout le monde autour d’une table? Dans ce domaine, la seule solution consiste à retirer le pouvoir exclusif d’urbanisme aux maires pour le confier à l’échelon intercommunal.

C’est précisément l’objet de la métropole. Le dispositif examiné au Parlement vous convient-il ?

La formule proposée au départ par le gouvernement était intéressante. Pour simplifier, on obligeait toutes les communes à entrer dans des intercommunalités dignes de ce nom, comme Plaine Commune ou Grand Paris Sud Ouest aujourd’hui,et on créait une métropole fédérant ces intercommunalités.

Mais ce projet a été refusé par le Sénat

Oui, par une étrange alliance entre communistes et UMP. Les députés ont ensuite adopté un autre système, celui d’une intercommunalité unique regroupant les communes de la petite couronne. Ce projet est ambitieux et il a le mérite de mettre un coup de pied dans la fourmilière, mais il a trois énormes défauts.

Lire la suite et en savoir plus sur http://www.lexpress.fr/region/l-etat-s-est-toujours-mefie-de-paris_1306392.html#V68Aj6wTjkUmJjsK.99

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Bon plans, Info Citoyen

Le Coffre de Lola fait son Marché de Noël a JOUY EN JOSAS et vous offre un bon de réduction !

Déc 9, 2013
Bonsoir à toutes et tous,

 

Le coffre de Lola fait son Marché de Noël à Jouy-en-Josas,

Je vous invite donc à venir découvrir et redécouvrir mon stand et mes créations
(bijoux fantaisies, divers accessoires en feutrine, encadrement de cartes d’artiste sur toiles, cadres de naissance…)

les 14 et 15 Décembre 2013

dans la Salle du Vieux Marché (Place de la Marne) à Jouy-en-Josas.

A cette occasion je vous offre un bon de réduction

de 5€ ou 10€ (voir conditions sur le coupon),

à valoir uniquement lors de ce Marché de Noël

sur présentation de ce bon de réduction à imprimer :

 bon de reduction

Le Marché sera ouvert au public

le samedi de 11h à 20h et le dimanche de 10h à 19h.

 Dans l’attente de votre visite !

Si vous ne pouvez pas vous déplacer, sachez qu’une promotion du même type est valable sur ma boutique alittlemarket jusqu’au 18 décembre 2013.

Info Citoyen

Des parents d’élèves créent un collectif sur la réforme scolaire

Déc 8, 2013

L’an dernier, un décret a été voté faisant passer la semaine de 4 jours à 4,5 jours.

Le maire nous a demandé si nous souhaitions cette réforme en 2013 ou 2014 et le choix entre le mercredi et le samedi s’est arrêté au mercredi.

Il a ensuite invité les directrices et des membres des représentants de parents d’élèves (FCPE et AILEVS) pour préparer l’organisation de cette réforme et le 13/12, il déposera ce projet finalisé à l’inspectrice de l’enseignement départemental.

Mais au fait, souhaitons-nous vraiment cette semaine de 4,5 jours?

Lors du sondage que nous avons organisé sur monsaclay, vous avez été plus de 80% à répondre NON à la réforme (pour 250 votants environ). Une tentative de piratage nous a incité à arrêter le sondage.

Ce sujet vous intéresse et il nous passionne, nous avons donc décidé de créer un collectif de parents qui permettrait à ceux qui ne font pas partie d’une association de parents d’élèves de nous rejoindre pour se faire entendre.

Ce collectif, qui est en train de se mettre en place,constitué actuellement de parents d’élèves, accueille toute personne souhaitant partager autour de ce thème de la réforme : enseignants, personnel du périscolaire, parents, tout Saclaysien payant des impôts qui ne manqueront pas d’augmenter….

Une de nos premières actions est de vous tenir informés des évènements à venir sur les panneaux d’affichage ou au travers des différents sites (monsaclay….).

Le planning proposé par le maire pour l’an prochain est prêt, il est souple au niveau des sorties possibles (15:45,16:30,17:30,18:30).

Le planning se décompose comme suit :
– Ecole de 8H30 à 15h45 avec la même pause méridienne de 11h30 à 13h30, puis:

– 1er Groupe: TAP jusque 17h30 puis garderie (sortie libre) fin 18h30
– 2ème Groupe: Etude jusque 17h30 puis TAP jusque 18h30
– 3ème Groupe: Garderie (sortie libre) fin 18h30

+ Mercredi de 8H30 à 11H30.

Malheureusement, actuellement son contenu est vide.

– Nous connaissons les horaires des TAP (temps d’activités périscolaires) mais les activités ne sont pas définies.

– le décret faisant passer les TAP avant l’étude, certains parents nous disent déjà que ce planning ne permettra pas à leur enfant de faire ses devoirs et qu’il devra les faire après 2h de TAP + garderie (à la maison).

– La gestion des sortie, compliquée par des horaires variables par jour et par enfant, implique une organisation rigoureuse des animateurs pour que la sécurité de nos enfants soit assurée. Aucune précision nous a été donnée, à ce jour, sur ce point.

– Le planning actuel impose aux enseignants qui le souhaiteraient d’attendre 45 min avant de reprendre les enfants pour gérer l’étude.

– Les locaux (écoles, centre de loisirs, gymnases…) dans lesquels les enfants doivent être répartis en petits groupes (de 14 pour les maternelles et groupe de 18 pour les élémentaires) semblent insuffisants pour diversifier les activités et les accueillir en nombre.

– Afin de limiter les coûts associés à la mise en œuvre de cette réforme, il n’y aura pas de transports pour acheminer les enfants du Bourg au Val et réciproquement. Les activités seront donc différentes d’un site à l’autre si elles se font dans les gymnases. Par ailleurs, la disponibilité de ceux-ci devra être gérée en association avec les clubs sportifs qui les occupent actuellement sur ces plages horaires.

– Qu’en sera-t-il pour les enfants qui fréquentent aujourd’hui le centre de loisirs de Jouy, le mercredi après-midi, puisque nos locaux sont déjà insuffisants? Qui les acheminera?

– Le budget demandé aux parents reste un grand mystère puisque le nombre d’enfants, estimé par la mairie, présents le mercredi après-midi et à la cantine nous semble sous-évalué malgré la mise en garde des représentants de parents d’élèves (Au Val : 102 enfants sur 233 en élémentaire et 74 sur 129 en maternelle. Au Bourg, 58 sur 129 en élémentaire et 36 sur 75 en maternelle).

– Pour nos plus jeunes, la sieste va être écourtée.

– Saclay n’étant pas une ville facile d’accès, il risque d’être difficile de trouver des jeunes, sérieux, souhaitant travailler dans notre commune alors que la demande va exploser afin de pourvoir toutes les écoles de France.

Malheureusement, les conseils donnés par les représentants de parents d’élèves présents lors des réunions préparatoires n’ont pas toujours été entendus.

Aujourd’hui, beaucoup d’entre vous souhaitent des réponses à ces nombreuses questions et nous pensons que c’est au maire de les donner. Il n’a pas souhaité nous rencontrer au cours d’une réunion à laquelle les enseignants auraient été conviés également.

Nous pensons que le maire se doit de nous informer TOUS sur ce sujet qui aura des implications importantes sur la vie, la sécurité de nos enfants et sur le budget de la commune. Nous pensons également que si la population est dans l’ensemble opposée au projet, le maire se doit de le communiquer au préfet, comme d’autres maires l’ont fait.

Le collectif de Parents sur la Réforme des rythmes scolaires.

Valérie Voilqué.

Info Citoyen

Essonne : Janvry refuse la réforme mais ne sera pas poursuivi par l’Etat

Déc 7, 2013

· http://paris-ile-de-france.france3.fr/2013/12/06/essonne-janvry-refuse-la-reforme-mais-ne-sera-pas-poursuivi-par-l-etat-372755.html

Essonne : Janvry refuse la réforme mais ne sera pas poursuivi par l’Etat

La préfecture de l’Essonne a renoncé vendredi à saisir la justice à l’encontre de la commune de Janvry (Essonne) qui a décidé de ne pas appliquer la réforme des rythmes scolaires, un « aveu de faiblesse » de l’Etat, selon le maire du village.

· Publié le 06/12/2013 | 18:25, mis à jour le 06/12/2013 | 18:25
Le 7 octobre, Janvry, petite commune rurale située dans l’ouest de l’Essonne, avait voté une délibération intitulée « Rythmes scolaires: c’est non! » et son maire Christian Schoettl (NC) avait appelé à la « désobéissance civile » contre cette réforme. Il a depuis été imité par d’autres villes opposées à la réforme controversée des rythmes scolaires dans le premier degré.

Fin novembre, la préfecture de l’Essonne avait saisi le tribunal administratif de Versailles par déféré pour faire annuler cette décision. Un déféré préfectoral permet à l’Etat de faire contrôler la légalité des décisions des collectivités territoriales. Mais vendredi, alors qu’une audience était prévue le 11 décembre, la préfecture a indiqué se désister de cette requête, dans une lettre envoyée au Tribunal administratif de Versailles et dont le maire a transmis une copie à l’AFP.

Selon M. Schoettl, ce désistement démontre que l’Etat n’est pas certain de la solidité du décret sur les rythmes scolaires. « C’est un vrai aveu de faiblesse », a-t-il déclaré. « Si l’Etat était sûr de lui, il fallait qu’il m’attaque et qu’il montre que je suis un trublion. Mais il n’est pas du tout sûr de son fait », a-t-il ajouté. « Ils avaient neuf chances sur dix de se prendre un mur et que le décret soit déclaré illégal. »

M. Schoettl a indiqué son intention de saisir le Conseil d’Etat pour démontrer l’illégalité de la réforme, qui bafoue selon lui le principe de libre administration des communes. « Il y a toutes les chances que la réforme plonge. C’est un naufrage », a-t-il estimé.

Décidée et mise en oeuvre par le ministre de l’Education nationale Vincent Peillon, la réforme des rythmes scolaires a été mise en place en septembre par 3.852 communes scolarisant 22% des enfants de maternelle et du primaire. Toutes les autres doivent en principe passer à la semaine des quatre jours et demi à la rentrée 2014.

http://www.liberation.fr/societe/2013/12/06/rythmes-la-commune-refusant-la-reforme-n-ira-pas-au-tribunal_964753

Rythmes : la commune refusant la réforme n’ira pas au tribunal
AFP 6 décembre 2013 à 18:22

Info Citoyen

Saclaysienne recherche emplois

Déc 7, 2013

Habitante de Saclay (37 ans), actuellement sans emploi, je suis à la recherche d’heures de ménage, de repassage, de baby-sitting, de cat-sitting, d’une garde d’enfant simple ou partagée au domicile de l’employeur avec aide aux devoirs si nécessaire (primaire, collège) avec ou sans heures de ménage/repassage, d’un poste d’aide à domicile…

Je suis véhiculée, je peux donc me déplacer sur Saclay, Jouy-en-Josas, Igny, Vauhallan, Massy, Palaiseau…

Je suis disponible dès le 6 Janvier 2014. Je souhaite évidemment être déclarée.

Je suis joignable :

par téléphone et sms au 06.60.82.11.28 (hormis du 21 décembre 2013 au 3 janvier 2014 étant à l’étranger)

et/ou par mail [email protected]

Merci

Safia G.

Association, Ecoles, Enfance, Info Citoyen

La Réforme, quoi de neuf ?

Déc 3, 2013

Vous êtes nombreux à nous solliciter sur la mise en place de la réforme scolaire. Aujourd’hui l’avancée du projet nous permet de mieux vous informer.
L’an dernier, le maire et ses adjoints ont lancé un groupe de travail afin de préparer au mieux cette réforme.
Ce groupe comprend des membres de la mairie, les directrices des écoles et les représentants de parents d’ élèves des deux corporations présentes sur Saclay, la FCPE et l’AILEVS.
Durant ces réunions, la mairie présente un projet qui est ensuite débattu entre les trois groupes. Certaines idées sont reprises par la mairie (d’autres pas) et un projet plus avancé permet d arriver à ce jour à l’objectif qui avait été fixé par le gouvernement. C’est à dire que le 13/12, le maire pourra présenter le projet suivant à l’inspectrice départementale.
Les TAP seront assurés par la ligue de l’enseignement.

En parallèle, et après avoir entendu plusieurs parents regrettant ce projet de réforme, un sondage a été lancé par un membre de l’AILEVS sur « monSaclay.fr » afin de savoir si ce regret était partagé par le plus grand nombre.

A ce jour, vous êtes plus de 80% à répondre NON à la réforme.

Que vous soyez POUR ou CONTRE, continuez à voter et n’hésitez pas à apporter des arguments constructifs qui nous aiderons et ne manquerons pas, nous en sommes sûrs, d’aider nos conseillers qui suivent vos avis à ce sujet.
Nous allons d’ailleurs convier notre maire à une réunion regroupant les enseignants qui le souhaitent afin qu’il puisse nous aider à remonter en haut lieu ce résultat et les arguments qui l’accompagnent.

Ceci est un complément d’information pour vous donner la suite des évènements.

Nous sommes loin d’être les seuls en France à essayer de nous faire entendre, puisqu’un « comité de maires se met en place pour revoir cette réforme » (UNAAPE – Union Nationale des Associations Autonomes des Parents d’Elèves).
Nous souhaitons que le gouvernement écoute et adapte cette réforme au plus grand nombre.
ENSEMBLE, avançons et partageons pour nos enfants.

Christophe Blin, président de l’AILEVS
Valérie Voilqué, vice présidente
Dulce Gaspar-Gerbaud, responsable projet.

(https://sites.google.com/site/ailevssaclay)

Association, Ecoles, Enfance, Info Citoyen

Parents et enseignants : ensemble

Déc 3, 2013

Les fédérations de parents d’élèves ( Peep, Unaape…) demandent l’ouverture d’une grande concertation nationale afin d’étudier avec tous les acteurs de la réforme, un aménagement du cadre réglementaire des rythmes scolaires.

Les difficultés que les parents nous rapportent sont bien réelles et doivent être prises en compte.

Face à l’attitude autistique des pouvoirs publics, la PEEP appelle tous les parents à manifester le 5 décembre pour qu’enfin la voix des parents soit entendue.

Parents du primaire et du secondaire, chers adhérents, venez nous rejoindre et exprimons la force de notre mouvement, ensemble.

Rendez – vous à 14 h00 à l’angle du boulevard Saint-Michel

et de la rue Gay Lussac,

dans le 5ème arrondissement de PARIS.

Le cortège se rendra ensuite au Ministère de l’Education nationale.

Je sais pouvoir compter sur vous !

Bien cordialement.

Valérie MARTY
www.peep.asso.fr

https://sites.google.com/site/ailevssaclay/

MonSaclay.fr -- site communautaire et citoyen contribuant a faciliter la mise en relation des habitants
de Saclay au bourg et au Val d'Albian et de l'ensemble des habitants du Plateau de Saclay. MonSaclay.fr est un blog d'entre-aide; un blog d'information citoyenne sur les
associations, les ecoles, la vie de quartier... Saclay est une
commune de l'Ile de France sur le Plateau de Saclay en Essonne, 91 au sud de Paris. Les communes voisines
sont Bievres, Jouy en Josas, Orsay, Vauhallan.

Contact : Stanislas Berteloot [email protected]