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Association, Plateau de Saclay

Video – Saclay : Peut-on sauver l’association « La Ferme de Petitjean » ?

Déc 15, 2013

Jean-Denys et sa femme se démènent seul ou presque pour aider les plus démunis. Il vient de perdre son emploi et sa femme a dû démissionner. Ils ont décidés de quitter Saclay.

« J’en ai pleuré », me confit-il samedi 14 décembre lorsque je l’ai rencontré chez lui. « Saclay est une ville plutôt aisée pourtant il y a ici des gens dans le besoin ».

L’appel de Jean-Denys

Après trois ans d’activité sur Saclay et sa région, notre association  » la Ferme de Petitjean » va devoir cesser ses activités!

Ma femme et moi devons quitter l’île de France pour cause d’arrêt de contrat professionnel pour moi.

Nous aurions espérer pouvoir continuer d’aider la centaine de familles à qui nous distribuions de la nourriture, des vêtements et du mobilier.

L’aide à la recherche de travail , à des démarches administratives fait partie aussi de nos activités.

Nous permettions à des centres pour enfants handicapés ou adultes à pouvoir se rendre à des manifestations comme le Salon de l’Agriculture ou la Foire d’Automne.

Notre souhait serait que les habitants de Saclay puissent réaliser qu’il y a des personnes dans le besoin.

La raison de la création de Notre association il y a environ dix ans a été de pouvoir aider toute personne, quelle que soit son origine ou son niveau social.

Ceci car la vie réserve bien des surprises et personne n’est à l’abri de déconvenues financières ou sociales.

Nous nous sommes efforcé d’aider sans critères de sélection!

Nous voulons que de bonnes volontés puissent prendre le relais en continuant ce que nous avons commencé.

Notre but est de donner une impulsion au plus grand nombre afin que chacun regarde autour de lui afin de s’inquiéter de qui pouvait avoir faim , froid ou besoin d’aide. La solution n’est pas de donner obligatoirement de l’argent mais de penser à donner ce qui ne sert plus ou d’acheter et de donner à celui ou celle qui en a besoin.

Pour tout renseignement ou envie de nous rejoindre contactez-nous.

L’Association ne cessera pas d’exister car nous allons habiter dans la ferme que nous rénovons pour accueillir des enfants en difficulté.

L’idéal serait de pouvoir avoir une antenne à Saclay pour palier au problème et perpétuer ce que nous faisions.

Pour vous rendre compte d’une partie de ce que l’on fait , il est possible de consulter notre site internet: http://www.la-ferme-de-petitjean.com/.

Merci

M. Jean-Denys Laffitte

Président de l’Association La Ferme de petitjean

Paris-Saclay, Plateau de Saclay, Université

Pierre Veltz : l’avenir du Grand Paris

Déc 10, 2013
 Source : L’Express.fr Par Michel Feltin-Palas, publié le Président directeur général de Paris Saclay, Pierre Veltz est l’un des meilleurs observateurs du territoire français. A l’heure où le Parlement se penche sur l’avenir du Grand Paris, ce Mosellan enraciné le rappelle avec force : l’avenir du pays passe par celui de la capitale. Et tant pis si cela ne plaît pas à tout le monde.

"L'Etat s'est toujours méfié de Paris"

« Il existe en France une méfiance générale à l’égard des villes, qui trouve son paroxysme avec Paris, souligne Pierre Veltz. Ce n’est pas un hasard si la capitale n’a un maire que depuis 1977 et si ce maire ne dispose toujours pas des pouvoirs de police. »

Selon vous, les relations de Paris avec la France ont toujours été ambiguës…

Oui. Paris incarne l’Etat mais, en même temps, l’Etat s’est toujours méfié de sa capitale.

Cela paraît curieux…

Pas si l’on se souvient que toutes les révolutions sont parties de Paris : 1789, 1830, 1848… Sous la Seconde République, le suffrage universel a même été instauré dans le but de noyer le vote révolutionnaire des ouvriers parisiens dans la grande masse des électeurs de la France rurale ! Et cela a fonctionné : Louis-Napoléon Bonaparte a été élu et le Parti de l’Ordre a triomphé en 1849. Après la Commune de 1871, la IIIè République fera mieux encore en nouant une alliance avec les agriculteurs contre les villes. De ce point de vue, l’exaltation par Vichy de  » la terre qui ne ment pas  » n’est pas un accident de l’histoire, mais le résumé chimiquement pur de l’anti parisianisme français. Ce n’est pas un hasard si la capitale n’a un maire que depuis 1977 et si ce maire ne dispose toujours pas des pouvoirs de police, que l’Etat préfère garder sous son contrôle.
L’Etat se méfie-t-il seulement de Paris ?

Non. En France, il existe une méfiance générale à l’égard des villes. Sous l’Ancien Régime, déjà, le pouvoir crée ce que l’on a appelé à juste titre des  » villes d’Etat  » pour mieux contrôler les grandes cités commerçantes dont il redoute la puissance. Le Parlement de Bretagne est établi à Rennes, et non à Nantes ; le Parlement de Provence est installé à Aix et non à Marseille, etc. Cette détestation de la grande ville va s’amplifier après la Révolution, et pas seulement pour des raisons politiques. La droite française considère alors qu’elle fait peser un risque moral sur la société, en menaçant la famille et en isolant l’individu. S’y ajoutent des considérations hygiénistes : jusqu’à l’invention des égouts, on pensait sincèrement que la grande ville était ingérable. De fait, la France cultive une  » urbaphobie  » générale, qui trouve évidemment son paroxysme à l’égard de Paris, la ville des villes.

Et qu’en pensent les Français eux-mêmes ?

Eux aussi entretiennent une relation très ambiguë avec la capitale. Pour les Provinciaux, Paris est à la fois une source de fascination et de fierté _ la Ville Lumière _ et une cité que l’on déteste, parce qu’on croit qu’elle vit aux crochets du reste du pays. Il faut dire que, réciproquement, les Parisiens ont longtemps méprisé les Provinciaux .

Pourtant, nombre d’entre eux sont issus des autres régions…

Précisément. Ce sont souvent ceux-là qui faisaient preuve du plus grand dédain à l’égard des Provinciaux car ils voulaient faire oublier d’où ils venaient, montrer qu’ils étaient devenus de  » vrais  » Parisiens. Un peu comme ces Méridionaux  » montés à la capitale  » qui s’efforcent de parler pointu et se moquent de ceux qui ont gardé l’accent.

Est-ce ainsi que s’explique le succès de la formule  » Paris et le désert français  » ?

Oui. Ce titre d’un livre paru en 1947, sous la plume de Jean-François Gravier _ un Vichyste exalté _ va rencontrer un succès considérable, jusqu’à devenir le mythe fondateur de l’aménagement du territoire. L’idée selon laquelle il faut limiter la croissance de l’ogre parisien pour sauver le reste de la Nation est alors largement partagée.

Seulement pour des raisons idéologiques ?

Non. Cette conviction, à l’époque, s’appuie aussi sur des raisons objectives. Pendant l’entre-deux-guerres, le décalage entre Paris et les autres villes françaises s’est creusé. Par ailleurs, le patronat de l’époque souhaite quitter Paris, où se concentrent alors les industries, pour éloigner la menace du Parti Communiste, jugée trop forte dans la banlieue rouge. Cela tombe bien : après-guerre, la révolution agricole libère une main d’oeuvre très nombreuse et Pour les jeunes du monde rural, l’usine est alors synonyme d’ascenseur social, d’indépendance par rapport aux parents, d’accès à la modernité… C’est ainsi, par exemple, que la Normandie va accueillir des usines automobiles le long de la vallée de la Seine. Cette industrialisation rurale est à la base de la croissance des Trente glorieuses. Au fond, les seuls perdants de ce compromis social ont été le monde ouvrier parisien et les communes de banlieue, qui vont devenir aussi pauvres que leurs habitants.

En perdant son industrie, Paris ne perd-elle pas aussi de sa puissance?

Au contraire, car la capitale conserve toutes les fonctions de conception et de commandement, comme la recherche, les sièges sociaux, le marketing, etc.. Paris est plus que jamais la capitale industrielle du pays, sans les usines.

Selon vous, cette logique de  » Paris et le désert français  » ne serait plus opérante…

Non car elle repose sur une erreur fondamentale consistant à voir l’économie comme un jeu à somme nulle : ce qui est gagné par les uns serait perdu par les autres. C’est évidemment faux quand l’économie devient très internationale, comme c’est le cas après 1980 : les entreprises parisiennes ne délocalisent plus en province, mais… à l’étranger ! Par ailleurs, ce raisonnement méconnaît le phénomène de  » métropolisation « , qui va de pair avec la mondialisation.

En clair ?

Dans une économie de la connaissance, les grandes villes disposent d’un avantage considérable car c’est là que se concentrent les universités, les laboratoires de recherche, les centres d’ingénierie les sièges sociaux, les industries culturelles, etc. Dès lors, Paris n’est pas en concurrence avec Marseille ou Nantes, mais avec New-York, Tokyo, Londres ou Shanghai. Quand on a compris cela, on comprend qu’il ne faut surtout pas handicaper notre capitale. Car affaiblir Paris, ce n’est pas renforcer la Province, c’est affaiblir la France !

Vous osez même dire que Paris finance la Province…

Je reprends les conclusions de l’économiste Laurent Davezies, qui a calculé que l’Ile-de-France assure 30 % de la production française, mais capte seulement 20% des revenus . Ce qui signifie que Paris subventionne la Province, de deux manières. Par le biais des dépenses publiques et des transfert sociaux, d’une part. Par les retraites, les RTT, les vacances et la redistribution privée, d’autre part. Je nuancerais toutefois ses propos en ajoutant que Paris prélève les ressources humaines de la Province en attirant une partie de ses meilleurs étudiants.

Admettons que Paris tire le reste du pays. Comment faire en sorte que la richesse créée en Ile-de-France profite bien aux autres régions ?

De fait, la France fonctionne déjà comme une  » métropole en réseau « , une  » métropole distribuée  » où certaines grandes villes régionales connaissent d’ailleurs un dynamisme supérieur à celui de la capitale. ll faut que ce dynamisme métropolitain se diffuse, de proche en proche, dans les villes moyennes, les petites villes et les campagnes. On n’en est pas si loin. L’effet TGV, notamment, amplifie ce que l’on a observé au XIXè siècle avec le chemin de fer. Le réseau en étoile que l’on a constitué alors a certes renforcé Paris, mais il a aussi permis à la Province de bénéficier plus rapidement des innovations techniques et de s’ouvrir de nouveaux marchés.

En est-il de même aujourd’hui ?

Oui. Prenez la région Rhône-Alpes. Lyon et Paris fonctionnent en synergie. L’avenir de Saint-Etienne ou de Roanne est lié à celui de Lyon, et celui du Roannais à la bonne santé de Roanne . Tout est lié. Comme le dit le philosophe Michel Serres,  » la France est une ville dont le TGV est le métro  » . Il est vrai que certains territoires périphériques sont en grande difficulté, mais les espaces ruraux n’iront pas mieux si les villes sont affaiblies !

Si tous les Français ont intérêt à ce que Paris aille bien, que faut-il faire pour aider Paris ?

Il faut commencer par renforcer ses atouts, qui sont considérables. Songez à sa puissance: par son PIB, le Grand Paris serait à lui seul la 18è nation du monde, devant les Pays Bas ou la Suisse ! Paris possède aussi une économie hyper-productive : le PIB par actif y est supérieur de 50 % à la moyenne nationale ! Enfin, et peut-être surtout, Paris dispose d’un potentiel intellectuel formidable, avec environ 80 000 enseignants chercheurs. C’est autant que la Silicon Valley et bien plus que Londres ! Paris est la première ville universitaire du monde. Hélas, personne ne le dit…

Pourquoi?

Sans doute à cause de nos divisions . Tocqueville disait déjà :  » dès qu’il y a trois Français, ils créent trois groupes « . Et bien l’Ile-de-France, c’est le championnat du monde de la fragmentation municipale. Bertrand Delanoë s’oppose au transfert de l’école d’agronomie du centre de Paris à Saclay alors que, vu de Londres ou de Pékin, il s’agit du même site ! Des communes riches, n’appartiennent à aucune intercommunalité parce qu’elles veulent garder l’argent pour elles. On ne peut pas continuer comme cela car le Grand Paris est un tout. Et si c’est un tout, il n’y a pas de raison que le tas d’or sur lequel les Hauts-de-Seine sont assis grâce à La Défense ne profite pas à la Seine-Saint-Denis.

Cette division est-elle le seul handicap de Paris?

Hélas, non. J’en vois au moins quatre autres. Le premier, c’est la coupure avec la banlieue, symbolisé par le boulevard périphérique. A l’intérieur se concentrent les hauts lieux du pouvoir, de la science, de la culture. A l’extérieur, on a longtemps trouvé les industries polluantes, les usines d’incinération des déchets, le cimetière des indigents de Thiais et même la guillotine quand elle était en usage ! Cette coupure physique se double d’une coupure mentale. Comme l’écrit François Maspero,  » il y a plus perdu qu’un Provincial à Paris, c’est un Parisien en banlieue !  » Le résultat, c’est que les six millions de banlieusards sont encore plus ou moins des Parisiens de seconde classe.

Le second problème, ce sont les transports. Nous avons arrêté d’investir et nous avons mis trop longtemps à créer des liaisons de banlieue à banlieue, là où les déplacements explosent. C’est pourquoi le projet du Grand Paris Express est absolument indispensable.

Le troisième, c’est le manque de logements à des prix accessibles. Cette situation a des causes multiples, mais la principale est la suivante : de nombreux maires, qui contrôlent le foncier via le plan local d’urbanisme refusent de construire, sous la pression de leurs électeurs. Les Franciliens sont bien heureux que l’on ait bâti la maison ou l’appartement qu’ils occupent, mais ils ne veulent pas qu’on en crée pour les autres !

Le dernier problème, c’est la gouvernance…

Evidemment. Non seulement l’Ile-de-France connaît le même mille-feuille administratif que toutes les régions françaises, mais elle souffre d’une difficulté supplémentaire : l’absence d’un acteur fédérateur. Il n’y a pas ici l’équivalent du Grand Lyon ou du Grand Nantes, capables de définir une vision d’avenir et de gérer les problèmes à la bonne échelle. Reprenons l’exemple du logement. On compte 1300 communes en Ile-de-France : comment voulez-vous mettre tout le monde autour d’une table? Dans ce domaine, la seule solution consiste à retirer le pouvoir exclusif d’urbanisme aux maires pour le confier à l’échelon intercommunal.

C’est précisément l’objet de la métropole. Le dispositif examiné au Parlement vous convient-il ?

La formule proposée au départ par le gouvernement était intéressante. Pour simplifier, on obligeait toutes les communes à entrer dans des intercommunalités dignes de ce nom, comme Plaine Commune ou Grand Paris Sud Ouest aujourd’hui,et on créait une métropole fédérant ces intercommunalités.

Mais ce projet a été refusé par le Sénat

Oui, par une étrange alliance entre communistes et UMP. Les députés ont ensuite adopté un autre système, celui d’une intercommunalité unique regroupant les communes de la petite couronne. Ce projet est ambitieux et il a le mérite de mettre un coup de pied dans la fourmilière, mais il a trois énormes défauts.

Lire la suite et en savoir plus sur http://www.lexpress.fr/region/l-etat-s-est-toujours-mefie-de-paris_1306392.html#V68Aj6wTjkUmJjsK.99

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Grand Paris, Info Citoyen, Plateau de Saclay

Les JO d’été à Saclay en … 2024 ?

Déc 2, 2013
Source : AFP 29 novembre 2014
Grandes manoeuvres autour de François Hollande pour des JO d’été français
Recalée pour les JO-2012, la France a relancé son appareil diplomatico-sportif et les grandes manoeuvres ont commencé autour du président François Hollande avec en toile de fond la question d'une nouvelle candidature parisienne pour 2024 voire 2028.Les derniers jeux Olympiques d'été français remontent maintenant à 1924, soit il y a près de 90 ans

Recalée pour les JO-2012, la France a relancé son appareil diplomatico-sportif et les grandes manoeuvres ont commencé autour du président François Hollande avec en toile de fond la question d’une nouvelle candidature parisienne pour 2024 voire 2028.Les derniers jeux Olympiques d’été français remontent maintenant à 1924, soit il y a près de 90 ans

AFP – Recalée pour les JO-2012, la France a relancé son appareil diplomatico-sportif et les grandes manoeuvres ont commencé autour du président François Hollande avec en toile de fond la question d’une nouvelle candidature parisienne pour 2024 voire 2028.

Les derniers jeux Olympiques d’été français remontent maintenant à 1924, soit il y a près de 90 ans, une éternité. En 2024, ce serait donc le centenaire des derniers JO parisiens.

La session intensive a débuté mi-novembre, avec un déjeuner du chef de l’Etat en compagnie des trois membres français du Comité international olympique (CIO), Jean-Claude Killy, Guy Drut et Tony Estanguet.

Elle s’est poursuivie lundi avec la réception à l’Elysée de la ministre des Sports Valérie Fourneyron, accompagnée des présidents du comité national olympique (CNOSF) Denis Masseglia et du comité français du sport international (CFSI) Bernard Lapasset. Elle se conclura samedi avec la visite à Paris du président du CIO fraîchement élu, Thomas Bach.

« Les grandes manoeuvres ont commencé », assure un président de fédération olympique partisan, comme nombre de ses collègues, « d’y aller pour 2024 ».

« Même si officiellement il faut attendre l’après-municipales pour se déclarer et l’adhésion du (ou de la) nouveau maire de Paris, il est évident que le soutien de l’Etat est un prérequis à toute candidature », ajoute-t-il.

Echecs de Paris puis Annecy

Officiellement toujours, les consultations du président, comme celle que devait tenir jeudi le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avec Denis Masseglia et Valérie Fourneyron, n’ont pour seul objet, pour le duo de l’exécutif, que de valider la stratégie diplomatico-sportive mise sur pied depuis son arrivée aux affaires en 2012.

Pilotée par le CFSI de Lapasset, elle inclut en prime aujourd’hui un ambassadeur du sport, Jean Levy, nommé par le Quai d’Orsay, et un délégué interministériel aux grands événements sportifs (Diges), pour conjurer la supposée mauvaise image de la France.

Mais la France accueille déjà nombre de grands événements sportifs. En quoi cette stratégie apporte-t-elle de la plus value si ce n’est pour préparer une candidature olympique », notait Guy Drut, partisan lui aussi « d’y aller », après sa rencontre avec le président de la République, il y a deux semaines.

Les échecs cuisants de Paris-2012 puis d’Annecy-2018 pour les JO d’hiver ont compliqué les choses. Il faut digérer et analyser les échecs et surtout étudier la faisabilité d’un projet pour 2024 ou 2028. Un rôle qui revient à Bernard Lapasset, parfois irrité par l’impatience de ses collègues.

Le Grand Paris plutôt que Paris ?

De fait, ils sont nombreux au CNOSF à vouloir se déclarer sans attendre, à l’image de son vice-président, Jean-Luc Rougé, patron de la fédération française de judo: « Il ne faut pas être otage des politiques dans le cadre des municipales », croit-il. « Il faut lancer un projet, choisir un site, acheter des terrains avant que tous les endroits libres à proximité de Paris aient disparu. Il faut arrêter de dire qu’une candidature ça coûte. Ca rapporte aussi ».

Les aspects techniques d’un dossier parisien ne sont pas le moindre des détails que les porteurs d’un projet Paris 2024, ou 2028, devront résoudre. La configuration de la candidature 2012 étant obsolète, il faudra tout repenser, du stade olympique à la piscine en passant par le village.

« Ce ne peut être aujourd’hui que dans le cadre du Grand Paris », reprend Jean-Luc Rougé. « Marne-la-Vallée, Evry, Roissy, le Plateau de Saclay… »

Une fois que l’Etat et le (ou la) nouvel(le) élu(e) parisien(ne) auront donné leur feu vert, une ébauche du dossier devra être rapidement ficelée: le CIO attend les déclarations d’intention pour septembre 2015.

Association, Ecoles, Enfance

Parents d’élèves de Saclay : la FCPE lance son blog

Nov 30, 2013

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L’association des parents d’élèves FCPE de Saclay est heureuse de vous faire découvrir son nouveau blog : http://fcpesaclay.unblog.fr

Vous y trouverez l’équipe en place qui est à votre écoute et à votre disposition pour parler de tous les sujets concernant nos enfants, des écoles, du périscolaires.
Plusieurs rubriques ont été mises en place tel que les questions cantines, les dernières actions menées.

Vous pouvez dialoguer avec nous via la rubrique commentaire ou bien en nous envoyant un email directement.
Nous vous attendons nombreux.

Mme Aude Blaevoet

Agenda, Art, Bon plans, Environnement, Info Citoyen, Plateau de Saclay

Lancement du livre de photographies sur le Plateau de Saclay, Racines d’avenir et de la Carte Ouverte du Plateau de Saclay

Nov 28, 2013

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Le livre de photographies sur le Plateau de Saclay, Racines d’avenir  de Jacques de Givry sera officiellement lancé le samedi 7 décembre de 12h à 13h à la Mairie de Saclay. Elle sera accompagnée d’une séance de dédicaces par les auteurs de 9h à 11h et de 15h à 17h à la Mairie.

 Le Plateau de Saclay en images 

Le Plateau de Saclay est aujourd’hui mis en avant pour les grands projets d’aménagement ou pour ses centres de recherche de renommée internationale mais de nombreuses facettes de ce territoire sont encore largement méconnues. C’est ce manque que vient combler le livre de photographies, Plateau de Saclay, Racines d’avenir. 

Six photographes du territoire ont participé à cet ouvrage inédit, édité et coordonné par Jacques de Givry. Yann Arthus-Bertrand y a également contribué par la mise à disposition d’un texte et d’une photo. La diversité des points de vue et des sensibilités permet de dresser un panorama de la richesse du patrimoine et des espaces ouverts de ce territoire exceptionnel. Ces artistes ont pris le parti de n’évoquer en image que « le socle rural et patrimonial du plateau et des vallées, sur lesquels doivent s’enraciner harmonieusement les développements que nous réserve l’avenir ». 

La post-face de l’ouvrage, co-signée des Président des trois communautés d’Agglomération (CAPS, CASQY et VGP), témoigne de l’intérêt porté aux espaces agricoles et naturels du Plateau de Saclay et de ses vallées.

Pour commander un ouvrage, contacter  [email protected] 

Pour accompagner le lancement de l’ouvrage, une vingtaine de photos sera exposée en grand format dans les rues de Saclay du 6 au 15 décembre. 

La découverte sur le terrain continue avec la Carte Ouverte 

Carte Ouverte du Plateau de Saclay

La Carte Ouverte du Plateau de Saclay est un outil participatif d’aide à la mobilité et à la connaissance du territoire qui recense des centaines de points clés et propose un outil de calcul d’itinéraire (transport en commun, les pistes cyclables, des circuits de balades ou des points de vente à la ferme). http://saclay.carte ouverte. org/

La Carte Ouverte sera également lancée le samedi 7 décembre à 12h à la Mairie de Saclay, pour le plus grand plaisir des promeneurs, des curieux et de tous les habitants du Plateau de Saclay et de ses vallées.

Ecoles, Enfance

La réforme des rythmes scolaires appliquée à la rentrée 2014

Nov 27, 2013
Christian Page

Christian PAGE

Lors d’une interview la semaine dernière le maire de Saclay, Christian Page, a confirmé que la mairie allait dépenser au minimum 150 000 euros pour la mise en place des réformes.

Les modalités de mise en place ont été décidées à la suite de réunions organisées avec les directrices des écoles et les parents d’élèves.

Ce projet sera présenté le 13 décembre à l’inspectrice de l’enseignent national.

Bon plans, Entreprise, Vallée de la Bièvre

Vidéo : Ouverture d’une cave à Bièvres

Nov 14, 2013

Depuis quelques semaines la Cave d’O accueille les amateurs de vins à Bièvres, 91. Située 4 rue de Paris en face de la boucherie Fillion, Hervé Gomas, son propriétaire, est spécialisé dans les vins, champagnes et spiritueux français.

Après deux ans d’expérience du métier de caviste conseil, M. Gomas est déjà à la tête de deux magasins : Bièvres et du Coudray-Montceaux, d’un commerce de vente en gros et d’un réseau d’exportation de vins vers l’Asie.

Avec plus de 600 références en magasin, M. Gomas inaugurera sa cave de Bièvres mi-décembre.

Adresse : 4 rue de Paris, 91570 Bièvres

Tel 06 07 83 04 12, [email protected]

www.cavedo.fr

Horaires : 10 :30 – 13 :00 et 16 :00 – 19 :30

Info Citoyen, Plateau de Saclay

Démission du maire de Vauhallan

Nov 14, 2013

Source : Le Parisien et la ville de Vauhallan

Les municipales auront lieu fin mars 2014. Mais à Vauhallan, les électeurs sont appelés aux urnes dès le 1 er décembre prochain, a révélé la préfecture de l’Essonne ce mercredi. En cause : la récente démission du maire de cette commune de 2000 habitants située sur le plateau de Saclay.

Roger Martinache (qui restera conseiller municipal) en a informé la préfecture le 18 octobre dernier. Une semaine après, un conseiller municipal a démissionné.

« Compte tenu des éléments précités, il est nécessaire de compléter le conseil municipal suite à cette vacance de poste aux fins de pouvoir procéder à l’élection du nouveau maire et des nouveaux adjoints », précise la préfecture.

Le 1 er tour aura lieu le 1 er décembre (de 8 heures à 18 heures). Le second, si besoin, une semaine plus tard. Le nouveau conseil municipal aura jusqu’au 23 décembre pour élire un nouveau maire.

Lire le flash info de la ville de Vauhallan

Info Citoyen, Plateau de Saclay

Plus de 500 postes menacés au CEA

Nov 13, 2013

Source : le Figaro

Le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) envisage plus de 500 suppressions de postes d’ici à 2017, a affirmé aujourd’hui la CGT, qui appelait à une manifestation des salariés devant le siège à Paris.

« D’ici 2017, 300 postes seront supprimés dans les effectifs de la division nucléaire, 130 postes dans ceux de la division des sciences de la matière et 110 dans la division des sciences du vivant », a déclaré à l’AFP Marc Wojtowicz, délégué central CGT du CEA.

Lire la suite sur le site du Figaro 

Par ailleurs on peut lire dans Les Echos :

Le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) se sent à l’étroit dans ses crédits budgétaires. La subvention de l’Etat allouée à l’organisme de recherche pour ses activités civiles l’an prochain ne baissera « que » de 0,9 % l’an prochain, à 1,06 milliard d’euros, selon le projet de loi de finances 2014. Mais l’établissement public doit aussi, à la demande de l’Etat, réaliser « un exercice très strict de « priorisation » » de ses dépenses sur la période 2013-2022, avec une subvention « au mieux constante » jusqu’en 2016, indique un document présenté fin octobre, aux organisations syndicales. Un conseil d’administration du CEA se tient aujourd’hui pour examiner les propositions de ce plan moyen et long terme 2013-2022, avant qu’il ne soit entériné au sein d’un Comité d’énergie atomique rassemblant les ministères de tutelle le 9 décembre.

« La direction a déjà fait toutes les économies possibles sans toucher aux opérations. Là, elle sera contrainte de toucher aux programmes », conteste Marc Wojtowicz, délégué syndical central CGT du CEA, qui a prévu une action en marge du conseil, aujourd’hui. Un certain nombre de dépenses sont, en effet, contraintes (normes de sûreté post-Fukushima, montée en puissance du futur réacteur Jules Horowitz, programme de cessation anticipée d’activité…) qui limitent les marges de manoeuvre ailleurs.

Lire la suite sur le site des Echos

Info Citoyen

Grève contre les rythmes scolaires

Nov 12, 2013

Dulce Gaspar-Gerbaud, Parent d’Elève du Val, nous informe que jeudi 14 novembre est prévue une grève des parents, des enseignants et des animateurs contre la réforme des rythmes scolaires.

Cette grève ne devrait pas être suivie à 100% car elle a été annoncée tardivement et ne sera pas payée.

Ndlr : Le maire de Saclay Christian Page contacté ce matin confirme qu’une grève a bien été déposée.

La garde des enfants sera assuré dans les écoles de Saclay.

Au Val, pratiquement personne ne fera grève. Au Bourg la majorité des enseignants, des ATSEM et du personnel de cantine font grève en maternelle alors qu’en élémentaire la grève devrait être peu suivie.

Agenda, Bon plans, Entreprise, Plateau de Saclay

Ouverture des réservations chapons & Poulardes de Noel

Nov 9, 2013

Dans deux mois les fêtes de Noel, les chapons et les poulardes en élevage à la ferme  Ferme de Favreuse depuis cet été profitent pleinement.

Lire : Un élevage de poulet bio pour préserver l’agriculture locale

Cette semaine démarre la phase d’engraissement à base de maïs pour donner une volaille tendre et moelleuse.

Comme les années précédentes, les poids devraient  s’échelonner de 3.5kg à  5Kg à 18€/Kg

Je commence dès à présent à prendre vos réservations, voici le calendrier des ventes.

Il y aura cette année la possibilité de réserver des poulardes pour le jeudi 12 décembre pour ceux qui le souhaitent.

Décembre

Jeudi 12 décembre

Vente poulets et quelques poulardes

Samedi 21

Chapons & Poulardes

Vente à la ferme 9h – 12h

Sur réservation

Dimanche 22
Lundi 23
Mardi 24
Jeudi 26

Vente d’œufs de 15h30 à 17h

Janvier

Jeudi 2

Fermeture

Samedi 4

Vente d’œufs de 10h à 12h

Jeudi 9

Reprise des ventes de poulets & œufs

De 15h30 à 19h

Pour commander, il suffit de m’envoyer par mail la tranche de poids souhaitée (Prévoyez 400 g/personne) et votre jours de passage à la ferme (cf. date ci-dessus)

Accompagné d’un chèque d’acompte de 15€ à envoyer à la ferme

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Info Citoyen

Les articles les plus lus du mois d’octobre 2013 sur monSaclay.fr

Nov 4, 2013

Voici les 10 articles les plus lus sur monSaclay.fr au cours du mois dernier (les articles, eux, ne datent pas forcément du mois octobre).

  1. Palaiseau : Trouvez un nom au centre aquatique !  2 528 lectures
  2. Le sénateur (Les Verts) Jean-Vincent Placé candidat au poste de maire de Saclay 27 commentaires | 1 394 lectures
  3. Antennes relais, champs électromagnétiques: La commune s’engage! 930 lectures
  4. Jean-Marc Ayrault veut accélérer la mise en place de Paris-Saclay 2 commentaires| 562 lectures
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Info Citoyen, Paris-Saclay

Vincent PLACE : grand manitou de l’OIN du plateau de Saclay ?

Oct 11, 2013

Hervé HOCQUARD interpelle Jean-Vincent PLACE : voulez-vous être le grand manitou de l’OIN du plateau de Saclay?

Jean-Vincent PLACE vient d’annoncer sa candidature aux élections municipales dans l’une des communes du plateau… « ou alentour », c’est-à-dire, en clair dans l’une des 29 communes essonniennes de l’OIN.

Il faut rapprocher cette déclaration de deux projets de lois actuellement en discussion au Parlement :

1/La nouvelle loi sur la décentralisation et les métropoles, qui, à la faveur d’un amendement sénatorial déposé par le même Jean-Vincent PLACE, transforme l’Etablissement Public du Plateau de Saclay en Etablissement Public national d’Aménagement présidé un élu.

2/Celle sur le cumul des mandats qui curieusement interdit celui de parlementaire avec toutes sortes de fonction… mais pas avec celles de Président d’un Etablissement Public de caractère national.

Le rapprochement est troublant.
Jean-Vincent PLACE est une personnalité très estimable, qui le serait encore davantage en dévoilant ses intentions exactes

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Info Citoyen, Paris-Saclay

Jean-Marc Ayrault veut accélérer la mise en place de Paris-Saclay

Oct 11, 2013

Source : L’Etudiant, Sophie de Tarlé | Publié le 11.10.2013 à 11H04

En déplacement sur le plateau de Saclay le 10 octobre 2013, Jean-Marc Ayrault a confirmé l’engagement de l’État sur le projet de l’université Paris-Saclay, annonçant des moyens supplémentaires, débloqués dans le cadre des Investissements d’avenir.

« Nous sommes au moment du basculement du rêve à la réalité pour le projet Paris-Saclay », a annoncé Jean-Marc Ayrault, venu le 10 octobre au matin sur le campus de l’Essonne. Le Premier ministre a voulu se montrer rassurant en annonçant que les freins financiers concernant la future installation sur le plateau de Saclay des trois écoles d’ingénieurs, l’Ecole centrale, l’Institut Mines-Télécom et AgroParisTech allaient être levés.

« Un effort exceptionnel qui se justifie par le caractère décisif de ces implantations pour la future université Paris-Saclay », a expliqué le Premier ministre qui a décidé d’orienter une part du Programme d’investissements d’avenir vers Saclay. Et d’insister : « c’est toute la France qui doit comprendre qu’une partie de l’avenir du pays se joue ici ».

Jean-Marc Ayrault était accompagné de Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de François Lamy, ancien maire de Palaiseau, et actuel ministre chargé de la ville, mais aussi de Henri Proglio, PDG d’EDF. Cette visite officielle a en effet été l’occasion de poser la première pierre du chantier d’EDF Lab, un centre de recherche et de formation d’EDF ; regroupant un millier de chercheurs, celui-ci doit ouvrir en 2015 et former, à partir de 2016, 15.000 personnes par an. Coût de l’investissement : 400 millions d’euros.

Jean-Marc Ayrault
Jean-Marc Ayrault  C’est toute la France qui doit comprendre qu’une partie de l’avenir du pays se joue ici (J.-M. Ayrault) 

Le Premier ministre a par ailleurs annoncé le lancement d’un nouvel Institut de recherche partenariale dans le domaine des énergies décarbonées (nucléaire, hydraulique, solaire, éolien…) soutenu par le Programme d’investissements d’avenir à hauteur de 19 millions d’euros.

D’autre part, 66 millions vont être consacrés à la construction d’une SATT (Société d’accélération du transfert de technologies), en lien avec l’incubateur IncubAlliance, « outil majeur permettant de jeter les ponts nécessaires entre la recherche et le monde économique ».

Jean-Marc Ayrault a aussi évoqué la cruciale question de la liaison du plateau aux transports en commun. Le plateau de Saclay devrait en effet être relié à Versailles et à l’Aéroport d’Orly dans le cadre du projet du Grand Paris.

Agenda, Bon plans, Plateau de Saclay

Saclay: La Défense dévoile ses pépites scientifiques et technologiques

Oct 10, 2013

DGA Essais propulseurs (Saclay) participe à l’exposition « la science près de chez vous » au gymnase du Moulon à Gyf-sur-Yvette. Cette année, le centre présentera un simulateur de vol Alphajet, grâce auquel les jeunes pourront s’initier au pilotage le temps de quelques minutes, ses activités d’analyses et d’investigations suite à accidents aériens, ainsi qu’une maquette de banc d’essais de vol simulé.

Cette maquette permet, grâce à une animation, d’expliquer de façon pédagogique le phénomène du givrage rencontré en vol par les aéronefs militaires et civils. Le public pourra apprécier l’expertise du centre et sa contribution pour l’amélioration de la sécurité aérienne.

DGA Essais propulseurs est partenaire, depuis maintenant plusieurs années, de l’association Ile de science. Elle a pour but de promouvoir les activités de recherche, scientifiques et industrielles sur le plateau de Saclay. Afin de mieux connaître cette organisation nous vous invitons à visiter son site internet : http://www.iledescience.org

Samedi 12 octobre de 14h à 18h et Dimanche 13 octobre de 11h à 18h (tout public – entrée gratuite). Gymnase du Moulon – Chemin de Moulon – 91190 Gif-sur-Yvette (derrière la ferme du Moulon)

 

Info Citoyen, Paris-Saclay

Jean-Marc Ayrault visitera le Plateau de Saclay jeudi 10 octobre

Oct 9, 2013

Le premier ministre se rendra sur le chantier du nouveau centre de Recherche et Développement d’EDF, et visitera le Campus de Paris-Saclay, en présence de trois de ses ministres, Geneviève Fioraso (Enseignement Supérieur et Recherche), François Lamy, ministre chargé de la ville et ancien Maire de Palaiseau et Philippe Martin (Écologie). Le programme de la visite prévoit également le laboratoire NeuroSpin, puis l’école Supélec.
Cette visite est l’occasion de présenter l’avancement du projet unique du Campus de Paris-Saclay, tant sur le plan scientifique, qu’urbain et économique.

Jean-Marc Ayrault prononcera à l’issue de cette matinée un discours axé sur le développement du cluster dans le cadre du Grand Paris.

Le futur centre de R&D d’EDF a vocation à regrouper les équipes de R&D d’EDF actuellement situées à Clamart (soit près de 1 000 salariés). Les champs d’expertise du nouveau centre de R&D d’EDF (nucléaire, mécanique, génie logiciel, mathématiques et simulation numérique, économie de l’électricité, …) figurent parmi les domaines d’excellence du Campus de Paris-Saclay. Les chercheurs d’EDF bénéficieront ainsi de la dynamique des coopérations avec les différents établissements d’enseignement supérieur, et les centres de recherche publics ou privés qui sont, ou seront, présents sur ce site.

Pour plus d’informations sur le Campus Paris-Saclay : campus-paris-saclay.fr/

Association, Info Citoyen, Sport, Val d'Albian

Vidéo et Photos : Les 31ème Foulées de Saclay

Oct 6, 2013

Interview vidéo de Jean-Jacques Debras, Serge Fourgeaud et Daniel Lobjois.

682 photos de Claude Gallas

Dimanche 6 octobre 2013, la 31ème édition des Foulées de Saclay a réunie 286 participants sur trois compétions au départ du Gymnase de Favreuse au Val d’Albian.

155 personnes ont participé à la course de 10 km, 91 à la marche le même parcours et 40 à la randonnée familiale de 5 km.

Les prix ont été remis en présence de Mme Jeanne Gavard, ancienne marcheuse et initiatrice, avec son mari Pierre, un marathonien, des Foulées de Saclay en 1977.

Vous trouverez les classements sur le site du Cos de Saclay.

Visualiser les 682 photos de Claude Gallas en ligne en suivant ce lien ou sur cette page grâce à ce diaporama.

Agenda, Bon plans, Paris-Saclay, Université

CURIOSITas où comment faire dialoguer étudiants et artistes

Oct 5, 2013

Du 5 au 10 octobre 2013, se tiendra sur le Campus Paris Saclay la première édition de CURIOSITas : une manifestation originale visant à faire se rencontrer étudiants en sciences et artistes autour d’un projet de création. Au programme : des installations artistico-scientifiques, des concerts, des ateliers, un défilé de mode, une master class…

Souvenez-vous, le dialogue entre sciences et cultures était mis à l’honneur l’an passé sur le Campus Paris Saclay, dans le cadre des « Journées arts & sciences du Printemps de la culture ». Initiées par Paris-Sud, ces journées étaient organisées autour d’un mix de conférences et de manifestations culturelles conçues par des étudiants de cette université ou des collectifs extérieurs. « Leur vocation, rappelle Christian Jacquemin, coordinateur de ces journées, était de donner à entendre des témoignages de personnes qui œuvrent à ce dialogue entre arts et sciences. »

Lire la suite sur : Paris-Saclay 

Voir le site web de CURIOSITas et découvrez les visites virtuelles.

Lundi 7 octobre à 20h Batiment 201 rue ampère 91400 ORSAY

ne manquez pas le défilé interactif…

FDI COLLECTION 2014 from WAW PRODUKTIONS on Vimeo.

Agenda, Association

Vide Maison ce week-end chez Martine

Oct 5, 2013

Martine_MaraisCe weekend Martine Marais organise un
« vide maison » au profit de l’Association Française des Sclérosés en Plaques (afsept).

Lieu :
3 rue Victor Hugo
91400 Saclay
Val d’Albian

Venez nombreux et n’oubliez pas d’apporter vos bouchons en plastique, car Martine les récupère pour une autre association : Les Bouchons de l’Espoir, dont elle est la représentante locale.

Lire également : Du bouchon au fauteuil

MonSaclay.fr -- site communautaire et citoyen contribuant a faciliter la mise en relation des habitants
de Saclay au bourg et au Val d'Albian et de l'ensemble des habitants du Plateau de Saclay. MonSaclay.fr est un blog d'entre-aide; un blog d'information citoyenne sur les
associations, les ecoles, la vie de quartier... Saclay est une
commune de l'Ile de France sur le Plateau de Saclay en Essonne, 91 au sud de Paris. Les communes voisines
sont Bievres, Jouy en Josas, Orsay, Vauhallan.

Contact : Stanislas Berteloot [email protected]